Chapter 188: Chapitre 182. La Chose qui est Due

Si seulement les mauvaises pensées étaient comme les déchets humains, et qu'on pouvait facilement se débarrasser en les vomissant.

Si seulement c'était aussi facile.

Son estomac, ses poumons, sa gorge ; tout lui semblait brûler. Il a vidé le contenu de son estomac jusqu'à ce que tout ce qui sortait ne soit plus qu'un liquide incolore, et pourtant, tout brûlait encore.

Il a toussé, haleté, toussé encore et encore, souhaitant que tout ce qu'il avait dans l'esprit puisse simplement être expulsé et évacué. Mais tout était encore là, et maintenant ses yeux brûlaient aussi.

La chambre était froide, et le sol sec était humide. Et pourtant, cela ne pouvait pas éliminer la brûlure qui rongeait son âme. Même quand sa peau devenait de plus en plus froide.