Comment pourrait-on être jaloux de son loup ? Adeline éclata de rire. C'était un rire franc.
Mais elle n'allait pas dire non à Volk. C'était la deuxième fois qu'il le demandait.
Souriante doucement, elle lui caressa la joue et se pencha légèrement pour rencontrer ses lèvres. Ce fut un baiser doux, empreint de tant de chaleur que cela fit rougir le visage de Volk.
Il n'était vraiment pas juste que César ait tout pour lui, y compris leur âme soeur. Il était du côté le plus dominant, et il n'y avait rien à faire contre cela. Parfois, il souhaitait être le plus dominant, mais après tout César les gardait sains d'esprit, donc c'était beaucoup mieux que ce soit lui qui contrôle.
Se détachant du baiser, Adeline caressa ses cheveux, un sourire charmant sur son visage. Volk fondit rapidement sous la caresse de sa paume. Il allait saisir sa main et se noyer davantage dans son réconfort, mais César prit malheureusement rapidement le contrôle, gâchant tout pour lui.