Chapter 21: ma rivale
Karen
- Tu auras besoin de cette plante pour que notre plan se passe bien.
Après ton mariage, tu commences à le faire inhaler, juste trente secondes .Il fera tout ce que tu lui diras de faire, mais fais attention à ne pas te faire prendre.
- J'ai compris papa, tu es sûr que ça va marcher ?
- Nous allons y aller pas à pas, dans un premier temps, tu feras tout pour qu'il aille confiance en toi, ne te fâche jamais contre lui, et s'il a d'autres femmes, ne fais d'histoire, tu sais qu'au finale, c'est toi, son épouse qui héritera de tous ses biens à sa mort, alors tu te fais toute petite et tu attends ton heure de gloire.
Sibelle
- Berta et Olivia, seront toujours avec toi,
à partir de maintenant ce sont tes gardes du corps, et tes entraîneurs .
Aujourd'hui tu vas t'entraîner avec moi
Ton entraînement aura lieu quatre fois dans la semaine .
- D'accord monsieur.
Après l'entraînement, nous partons prendre une douche ensemble, hier André m'a apporté, l'effusion des plantes dont elle m'avait parlé, j'ai fais ma toilette avec, ce matin aussi, mais maintenant je ne peux pas le faire en sa présence .
Il commence à me savonner, j'ai l'impression, qu'il prend plaisir à le faire juste pour me pelotonner tout le corps.
Il appui mes seins avec force, il me regarde pour voir ma réaction, je mords ma lèvre inférieure pour ne pas pousser un cri .
- Qu'est ce que je t'ai dis la dernière fois ?
- vous avez dis de ne pas me retenir devant vous.
- Et qu'est-ce que tu viens de faire ?
- Rien monsieur.
Ses mains sont sur mes fesses
- As-tu encore mal ?
- Juste un peu.
Il malaxe, la chaire tendre de mon postérieure .
- Ils sont moelleux à souhait.
Il continue de les appuyer, ses doigts caresses, mes cuisses, d'avance à l'intérieur pour toucher ma fente dégoulinante de ma serve .
- Tout ça, c'est pour moi, c'est pour l'accueil en toi que ton corps secrète toute cette substance et c'est parce que je te fais de l'effet . Dépéchons-nous pour pouvoir bien profiter de cette journée . Il me rince, puis en fait de même pour lui avant de m'emmener dans la chambre pour m'aider à m'habiller . Je ne sais pas quelle Mani il a de vouloir m'habiller comme si j'étais un enfant.
Ensuite, nous descendons à la salle à manger, Aïcha est assise à sa nouvelle place comme d'habitude, monsieur s'assoit à sa place, je prends la place à sa gauche.
- Viens t'asseoir ici.
Il me montre sa droite.
- À partir de maintenant ce sera ta place,
Aïcha tu peux récupérer ta place, Jenifer quant-elle sera rétablie se trouvera une autre place .
Nous commençons à manger, je meurs de faim . Je mange rapidement.
- Doucement, ma chérie, tu risques d'avaler de travers .
J'en profite pour lui dire :
- Je mange vite pour quitter la table, avec ce que Aïcha ma dit quand tu n'étais pas là, je ne veux pas d'histoire.
- C'est quoi cette histoire ?
Je vois le visage d'Aïcha se décomposer.
Qu'est-ce qu'elle croyait ? Que j'allais garder ça pour moi ? Elle apprendra à ses dépens que je n'ai pas ma langue dans ma poche.
- Aïcha, tu m'expliques ?
Elle bafouille maintenant, elle qui parlait avec prétention, n'est plus qu'une chenille qui tremblote.
- Heu... je.. je ne lui ai rien fais, je vous jure monsieur.
- Je sais que la cohabitation entre femmes est assez complexe, mais j'ai surtout horreur des manipulateurs, des menteurs et des sournois . Je te garde à l'oeil, si jamais ! Je dis bien si jamais,
j'entends que tu as manqué de respect ou l'indisposer d'une quelconque manière, que ce soit, tu goûteras à ma fureur . C'est la dernière fois que je te mets en garde . Je jubile, il me faut les chasser d'ici une à une, si je suis obligée à rester avec lui, à supporter ses caprices, ce n'est surtout pas pour le partager avec d'autres, sauf sa femme, mais un jour viendra où il faudra que je m'occupe d'elle .
- Viens sur mes cuisses .
Je me lève en lançant un petit coup d'œil à ma rivale, mais elle a la tête baissée .
Je m'assois sur ses cuisses, et il commence à me donner à manger.
- Tu dois bien te nourrir, car je ne veux pas voir fondre tous ses rondeurs appétissants .
- D'accord monsieur
Il continue de me nourrir et de se nourrir avec la même fourchette.
- Qu'est-ce qu'on va faire aujourd'hui ?
Nous allons passer la journée au travail
dès qu'on finit, nous prenons la voiture pour y aller.
Je dois recevoir, un client important à la fin de la semaine, Aïcha tu t'occupes de bien m'installer.
- Bien monsieur.
- Pourquoi tu as cette mine de déterrée ?
- Pour rien monsieur.
- Alors change-moi ça rapidement.
Elle affiche un sourire crispé.
- Mieux que ça , si tu ne veux pas faire un tour dans la salle de torture .
Pendant un instant, elle se fige pour ensuite sourire de tous ses dents.
- C'est beaucoup mieux ainsi.
Nous finissons de manger, me mets devant lui pour que nous allons au travail
Je ne comprends pas c'est qui connait le chemin mieux que moi, pourquoi c'est moi qui dois passer devant.
Je fais deux pas et m'arrête.
- Pourquoi tu t'arrêtes ?
- Heu, je ne connais pas bien le chemin.
- Ça n'a pas d'importance, marche devant pour que je puisse me délecter des balancement de tes hanches.
Je rougis comme une tomate , et commence à marcher devant lui, il est malade cet homme.
- Prenons d'abord l'ascenseur pour aller récupérer des documents dans mon bureau, ensuite nous allons au parking pour prendre le véhicule adéquat.
- D'accord monsieur.
Je continue d'avancer, je sens son regard pervers sur mon postérieur.
Chapter 22: tu m'épate
Sibelle
D'accord monsieur.
Je continue d'avancer, je sens son regard pervers sur mon postérieur. On arrive dans son bureau, il s'assoit dans son fauteuil, et ouvre ses tiroirs pour sortir ses dossiers, qu'il lit un peu avant de les mettre dans son classeur.
- C'est quand je peux appeler ma famille ?
- Demain .
- pourquoi pas aujourd'hui ? Ça fait des jours que je n'ai pas parlé à ma famille.
- J'ai dit demain, je n'aime pas être contredire.
- Bien monsieur.
Qu'est ce que je peux dire de plus ? Rien !
Pour ne pas le mettre en colère , je préfère me taire .
Après avoir récupéré ses documents nous quittons le bureau . Je suis toujours devant lui marchant, bougeant les fesses, je me retourne pour voir sa réaction, ses yeux sont scotchés sur mon postérieur, je souris, comment les hommes peuvent-ils aimer autant regarder les fesses des femmes ?
Nous montons dans le véhicule, dès qu'on est assis :
- Viens t'asseoir sur moi.
C'est quoi ça encore ? Il me fait asseoir en califourchon sur lui, je sens son érection dans son pantalon, ses mains sont posées sur mes fesses les caressant à volonté, je le regarde, il a les yeux fermés, appréciant son touché.
Il continue à me caresser les fesses jusqu'à notre arrivée au bureau, avant de descendre il prend cinq minutes, pour se contenir, faire descendre un ce gros volume qui se trouve devant lui , ensuite nous descendons . Il passe devant moi et je le suis, il à retrouver ce visage d'homme froid, impénétrable . Chaque personne que nous rencontrons se courbe pour le saluer . Il répond à peine.
Nous arrivons à son bureau, il s'intéresse
sa secrétaire entre avec des cafés, qu'elle dépose sur la table, moi je m'installe en face de lui.
- Prends un fauteuil et viens près de moi, je me lève, tire le fauteuil sur lequel j'étais assise et m'approche de sa place.
Il pousse un peu, me permettant, l'insérer mon fauteuil à ses côtés.
Il ouvre un dossier et me demande d'y jeter un œil .
- relève moi tous les incohérences.
- Très bien monsieur.
Je me plonge dans le dossier : à regarder simplement, il n'y a rien à signaler, mais en approfondissant, la lecture, cherchant des réponses à des faits, on se rend compte que la comptabilité est fausse.
Je prends un stylo rouge et souligne où je trouve des incohérences. Puis je lui tends le dossier.
- Tu as déjà fini ?
- Oui
Avec cette manière de s'asseoir, l'un à côté de l'autre, nos coudes se touchent parfois, ou même les bras, c'est assez intime .
Il prend le dossier le relire, et le dépose ,
- Tu m'épate vraiment. Des comptables chevronnés ont pris une journée pour trouver les incohérences, toi tu en as pris
que 15 minutes. Tu fais honneur à ton métier .
- merci beaucoup dis-je en rougissant .
Après l'analyse d'autres dossiers, je l'ai accompagné à une réunion, je marche toujours derrière lui, le sui comme son ombre. À la réunion, à ses côtés, je suis à
gauche et son vice-président à sa droite.
Je prends des notes de tout ce qui se dit.
Il demande à ses employés quelles sont les idées qu'ils en termes d'innovation pour accroître les ventes dans les six mois à venir.
Pendant dix bonne minutes personne ne répond.
- Vous êtes des bandes d'incompétents, vous servez à quoi dans cette entreprise ! Juste à exécuter ce qu'on vous donne comme ordre, vous pensez que vous êtes des robots ? Quant on vous demande d'aboyer vous le faites, même tourner sur vous même, comme des chiens . J'attends vos propositions, vous ne bougerez pas d'ici sans une bonne proposition.
Je vois tout le monde agité, moi, je me concentre pour trouver une solution.
- Pourquoi ne pa faire sortir un nouveau produit que les concurrents n'ont pas ?
- Cela nous prendra Trop de temps pour effectuer les études de marché, ce n'est pas mauvais mais le temps est court, nous pouvons programmer cela pour le début de l'année prochaine.
Une personne lève la pour donner sa proposition :
- Nous pouvons faire une nouvelle promotion de notre produit fare.
- Autre proposition ?
- nous pouvons, rendre des produits inaccessibles à certaines couches sociales plus accessibles en les vendant à un prix plus bas, pour ce faire nous devons trouver des matières premières à moindre coût .
- Ce n'est pas mauvais ça.
Je veux dire que l'entreprise où nous nous situons est une entreprise commerciale de vente de produits.
À la différence de l'une de ses entreprises qui est une entreprise de production c'est à dire une entreprise de transformation des matières premières en produits finis ou semi-finis .
Après la réunion nous repartons au bureau, cette fois-ci accompagnés de quatre chefs de service : service achat, financier , informatique et commercial .
- savez-vous que, pour qu'il est une bonne coordination et une meilleur travail, mais surtout de bonnes ventes, il faut d'abord que cette coordination commence entre vous .
chef du service vente savez-vous à combien est exactement payer à l'unité les produits que vous vendez ?
- Pas exactement monsieur.
- Et pourquoi ?
- Je ne pensais pas que c'était aussi important.
- Vous êtes viré . Sortez de mon bureau.
- J'espère pour vous qu'à partir de ce moment chacun de vous saura quel est son rôle au sein de cette société , et qu'il fera le maximum pour que je sois satisfait de sa prestation .
Si vous ne savez pas ce pourquoi vous êtes dans cette société, vous ferez mieux de donner votre démission.
Service financier, donne tous les états financiers de ces deux dernières années, à mon assistante, elle fera des vérifications, malheur pour toi s'il n'y a pas de concordance.
Ensuite il s'adresse à un homme d'une soixantaine d'années, cheveux poivre-sel
- Si tu n'es plus digne de confiance, il vaut mieux que je prenne une autre personne à ta place.
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