Cette nuit, j'ai fait un rêve apaisant. Je voyais trois petits courir derrière moi, leurs rires emplissant l'air de joie et de bonheur. Je ne pouvais m'empêcher de sourire dans mon sommeil. Depuis que notre lien s'est renforcé, Aelynn et moi avons souvent des rêves partagés, et je savais qu'elle pouvait rêver de la même chose que moi. "Tu avais raison, mon amour," murmurais-je dans mon rêve. "Nous aurons trois petits pour perpétuer notre lignée."
Le réveil fut formidable grâce à ce rêve. Je me tournais et voyais la femme de ma vie à côté de moi, son ventre rond témoignant de notre amour. Je ne pouvais m'empêcher de bander en voyant cela. Je savais qu'elle ne voulait pas de relations sexuelles pendant la grossesse, malgré les conseils d'Eira. Elle nous avait conseillé de le faire au moins une fois avant l'accouchement pour renforcer notre lien. J'avais même demandé à Eira de convaincre Aelynn, mais je n'avais pas vu de changement chez elle depuis.
Je soupirais, me contentant de mes mains. Parfois, Aelynn m'aidait, amusée par la situation. Je me penchais pour lui donner un baiser sur le front, puis m'assis sur le bord du lit, ma queue bandante me rappelant mon désir. Après cinq minutes, je n'arrivais toujours pas à me faire jouir, la frustration montant en moi.
Soudain, je sentis une main sur mon épaule. Je me retournais et voyais Aelynn, son regard brûlant de désir. Elle était si sexy comme ça, ma femme ! Je l'embrassais, sentant une vague de chaleur m'envahir. Elle prit ma queue dans sa main et commença à la caresser. Je me sentis immédiatement mieux.
"Oui, chérie, comme ça," murmurais-je.
Elle se baissa alors pour me sucer. Cela m'avait tellement manqué. Ses lèvres chaudes et sa langue experte me faisaient trembler de plaisir. Juste au moment où j'étais sur le point de jouir, elle s'arrêta. Je la regardais, perplexe.
"Non, bébé, ne me laisse pas comme ça," suppliais-je.
Elle se déshabilla lentement, puis écartant ses lèvres avec ses doigts, elle me dit : "Pénètre-moi, mon homme."
Je voyais qu'elle était beaucoup mouillée et son trou vraiment agrandi. "Es-tu sûre ?" demandais-je.
Elle acquiesça et je m'exécutai. En entrant en elle, je ressentis un plaisir intense, décuplé par le fait que nous n'avions pas fait cela depuis des mois. Les désirs étaient décuplés, chaque mouvement, chaque caresse, envoyant des vagues de plaisir à travers mon corps.
Aelynn gémit de plaisir, ses hanches se mouvant au rythme de mes poussées. "Oh, Adrien, c'est tellement bon," murmura-t-elle.
Je sentais la chaleur de son corps contre le mien, le battement de son cœur résonnant en harmonie avec le mien. Chaque poussée nous rapprochait un peu plus de l'extase, nos corps fusionnant en une danse de désir et de passion. Ses ongles griffaient doucement mon dos, ajoutant une note de douleur délicieuse à notre union.
"Plus vite, mon amour," murmura-t-elle, ses yeux brillant de désir.
J'accélérais le rythme, sentant notre lien se renforcer à chaque mouvement. La sensation de ses muscles se contractant autour de moi était incroyable, chaque contraction envoyant des vagues de plaisir à travers mon corps. Je savais que nous étions proches, nos respirations s'accélérant, nos corps tremblant de plaisir.
"Je t'aime, Aelynn," murmurais-je, mes lèvres capturant les siennes dans un baiser passionné.
"Je t'aime aussi, Adrien," répondit-elle, ses mots se perdant dans un gémissement de plaisir.
Avec un dernier cri de plaisir, nous atteignîmes l'orgasme ensemble, nos corps s'abandonnant à l'extase. La sensation était indescriptible, un mélange de bonheur, de soulagement et d'amour profond. Je me sentais complet, comme si toutes les pièces de mon être étaient enfin réunies.
Nous restâmes allongés là, nos corps entrelacés, nos respirations se calmant lentement. Je caressais doucement son dos, savourant la douceur de sa peau sous mes doigts.
"Merci, Aelynn," murmurai-je, un sourire sur les lèvres.
"Merci à toi, Adrien," répondit-elle en posant sa tête sur ma poitrine. "C'était incroyable."
Nous passâmes les heures suivantes à parler, à rire, et à partager des moments de tendresse. Notre lien, déjà fort, semblait indestructible. Nous savions que nous étions prêts à affronter tous les défis qui se présenteraient à nous, main dans la main.
Les jours suivants furent remplis de préparatifs pour l'arrivée des petits. Aelynn et moi passâmes beaucoup de temps à organiser notre maison, à préparer des vêtements et des jouets pour nos futurs enfants. Chaque moment passé ensemble renforçait notre lien, et je sentais que notre amour ne faisait que grandir.
Un matin, alors que nous étions assis dans le jardin, Aelynn posa une main sur son ventre arrondi.
"Je les sens bouger," dit-elle en souriant.
Je posai ma main sur son ventre, sentant les mouvements des petits sous ma paume. C'était une sensation incroyable, un rappel constant de la vie qui grandissait en elle.
"Je suis tellement excité de les rencontrer," murmurai-je.
"Moi aussi," répondit-elle en posant sa tête sur mon épaule. "Je sais que tu seras un père formidable, Adrien."
Je souris, sentant une vague de bonheur m'envahir. "Et tu seras une mère incroyable, Aelynn."
Nos journées étaient rythmées par les visites de Freya et Eira, qui continuaient à veiller sur la santé d'Aelynn et à s'assurer que tout se passait bien. Elles nous apportaient des herbes et des potions pour aider Aelynn à rester forte et en bonne santé, et nous donnaient des conseils précieux sur l'accouchement et les soins des nouveau-nés.
"Vous êtes entre de bonnes mains," disait souvent Freya en souriant. "Tout va bien se passer."
Je savais que nous étions chanceux d'avoir une telle communauté de soutien. La meute était unie, et nous pouvions compter sur l'aide et la bienveillance de nos amis et de notre famille.