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85% Alone in my darkness / Chapter 17: 16/ Lumière noir

Chương 17: 16/ Lumière noir

À l'extérieur, la panique régnait dans un énorme brouhaha, alors que les voitures de police et de pompiers étaient en attente, prêtes à intervenir à tout moment. Les journalistes, munis de leurs caméras, couvraient également l'événement en direct. Tandis que l'on pouvait aussi discerner dans la foule des familles pétries d'angoisse, en impatience de voir si leur enfant allait ressortir de cette terrible épreuve.

"Je me trouve ici, là où dans l'après midi, un terrible évènement est survenu. En effet, une classe de terminale s'est malheureusement retrouvée piégée dans un donjon gris. D'après les experts sur les lieux de l'incident, la faille aurait atteint le rang 8. Les chances de survie du groupe d'élèves s'avèrent minces, malgré la présence d'éveillés professionnels avec eux. Les secours se tiennent tout de même prêts à intervenir." Déclara une journaliste micro à la main.

Bien sûr, la famille de Kévin avait eux aussi appris la nouvelle avec effroi et s'était eux aussi immédiatement rendus sur les lieux de l'incident.

(POV Arthur)

J'ai réussi à sortir de la faille en aidant un camarade blessé, la première chose que je vis étais des tas de véhicules de secours. Il ne faisait aucun doute qu'ils avaient été tenus au courant de la situation, les secours venant immédiatement m'aider. Je vis ensuite ma famille, mon père et mon horrible belle mère m'attendre.

Sur le visage de mon père, je pouvais voir qu'il était ému et soulagé, même bouleversé de me voir ressortir. Sans hésitation, il se dirigea droit vers moi, ouvrant grands ses bras pour m'envelopper dans une étreinte réconfortante.

"Tu vas bien Arthur ?" Demanda-t-il inquiet.

"Oui je vais bien ne t'en fais pas." (Arthur)

Dans la foulée, mes yeux se posèrent sur la mère de Kévin sa sœur et son petit frère, et immédiatement, je vis la détresse dans leurs regards. Sans avoir besoin de mots, leur inquiétude se révélait dans une communion silencieuse et mortuaire. Jusqu'à ce qu'elle brise ce silence :

"Arthur où est Kévin ?" Me demanda-t-elle.

"Il est..." (Arthur)

C'est alors que je remarquais de manière perplexe que Kévin aurait dû sortir depuis longtemps. Il était censé se trouver juste derrière moi, pourtant je ne le vis pas ressortir, tandis que les autres derrière lui sortaient les uns après les autres, faisant monter mon anxiété.

Je vis ressortir finalement le groupe de Adam, composé de Onil et Karminia.

"Où est Kévin !" Demandais-je perplexe.

"Il a été attaqué malheureusement." Répondit Adam d'un ton triste.

"Non !" Sanglota la mère de Kévin tombant en pleurs sur le sol.

Un sentiment de rage intense s'empara de moi, car les paroles d'Adam me semblaient totalement dépourvues de sens. Kévin aurait dû sortir rapidement après moi, pourtant il n'était pas là. De plus, il était hautement improbable que les monstres aient pu le rattraper. Cette réalité ne laissait qu'une seule explication plausible et le petit sourire en coin d'Adam qui se dessina confirma mes doutes.

"Ne me raconte pas de conneries ! S'il avait été attaqué, alors vous aussi vous auriez dû l'être, donc ne me raconte pas des bobards !" (Arthur)

La colère et la frustration prenant le dessus, une aura meurtrière a commencé à émaner de moi. Se manifestant par l'apparition d'un flot de mana violent se libérant de mon corps.

"Vous l'avez sacrifié pour vous permettre de vous échapper !" (Arthur)

"C'est une grave accusation que tu portes là !" Apparut finalement le Professeur Henry.

"Vous allez couvrir leur acte !" (Arthur)

"Quel acte ? Quelle preuve as-tu ?" (Professeur Henry)

Dans un fracas strident, le métal de mon épée croisa celui de la dague du professeur, des étincelles jaillissant à l'impact.

"Que fais-tu !" Dit-il surpris par l'attaque soudaine.

"Je vais vous trancher la gorge moi-même pour venger mon ami !" (Arthur)

"Attention à ce que vous allez faire, ce serait dommage de gâcher votre avenir !" (Henry)

"J'en ai rien à foutre !" Dis-je alors que mes intentions meurtrières se sont intensifiées.

Cependant, avant que je puisse agir, ma progression fut arrêtée par l'intervention d'individus, dont Charles, qui m'immobilisèrent fermement. Leurs mains se refermant autour de mes bras et de mes épaules, me maintenant dans une emprise solide.

"Qu'est-ce que vous faites lâchez-moi !" Criais-je complétement fou de rage.

"Calme-toi, même si tu les accuses tu n'as pas de preuves. Je sais ce que tu ressens mais vu la situation on ne peut rien y faire. (Charles)

Alors que mes yeux débordaient de rage, je remarquais que le regard de Charles reflétait une colère similaire. En tant que chasseur né, il était animé par un sens aigu de l'honneur et de la loyauté, et il ne pouvait supporter de voir un camarade être trahi, encore moins par des actes de perfidie

"Abandonner un de vos élèves pour sauver votre peau vous me dégoûtez !" Lança t-il.

"Comment avez vous pu faire ça !" Lança Marie en prenant sa mère dévastée dans ses bras.

Ils n'ont pas répondu préférant partir, cependant leur perfidie et égoïsme avait été révélé au grand jour.

J'ai rétracté mes intentions meurtrières, laissant passer derrière moi ces sales individus. Puis naturellement, j'ai décidé de rester à attendre devant la faille avec ma famille et celle de Kévin. Alors que tous les autres avaient déjà été emmenés à l'hôpital ou étaient rentrés chez eux. Cette attente prolongée, teintée d'une certaine anxiété, nous a permis de renforcer nos liens familiaux et de partager ensemble les espoirs et les inquiétudes qui nous assaillaient.

Seules les équipes de secours ainsi que quelques individus éveillés, dont le professeur Henry, étaient restés sur place. Car une règle dictait de rester devant le portail, tant qu'il ne se refermait pas complètement. Cette directive visait à assurer que, dans l'éventualité où des membres égarés surgiraient d'une manière ou d'une autre. Une heure s'écoula, puis deux, et finalement les trois heures approchaient un équivalent de trois jours à l'intérieur du portail. Finalement le portail commença progressivement à se refermer, annonçant la fin de cette période d'attente et tuant tous nos espoirs de voir Kévin ressortir. Tandis que la mère de Kévin a fondu en sanglots, en poussant des cris qui ont étreint mon coeur. J'ai alors serré Marie dans mes bras pour aussi la réconforter.

"Mon ami, je suis désolé." Dis-je en voyant le portail se refermer avec tristesse.

Le portail se refermant devant nos yeux, un sentiment déchirant de tristesse s'empara de nous tous. Une lourde atmosphère de désespoir s'installa, comme si l'espoir lui-même était englouti avec le mouvement du portail. Les regards épuisés et remplis de chagrin se croisaient, témoignant de la détresse partagée au sein du groupe. Les émotions se mêlaient dans un tourbillon de peine, de déception et de résignation. Dans cet instant, notre collectif sombrait dans une tristesse profonde, comme si le monde lui-même s'était assombri en réponse à notre peine.

Soudain, une violente explosion retentit, faisant sursauter chacun d'entre nous et captant immédiatement l'attention. L'explosion avait soulevé un mur de fumée qui ne tarda pas à se dissiper. La fumée se dissipant, nous avons pu voir une tête de créature coupée. C'était la tête d'un des horribles loups que nous avions peiné à combattre auparavant. Leur apparence grotesque et menaçante avait été réduite à l'état inerte et mutilé. Le spectacle le plus surprenant et terrifiant résidait néanmoins, dans l'expression figée de peur qui était présente sur la tête de la créature décapitée. C'était un contraste saisissant, voir un être aussi monstrueux, qui avait semé la terreur parmi nous afficher lui-même une expression de terreur. Cette réalité soulevait une multitude de questions déconcertantes :

Qu'avait-il pu rencontrer de si effrayant pour le mettre dans un tel état ?

La réponse à notre question ne tarda pas à nous être révélée, mais elle ne fit que susciter une horreur indescriptible. Un flot impitoyable de soif de sang et de mana s'abattit sur nous, balayant tout sur son passage. La pression qui en résultait était si écrasante que je peinais à respirer, mes poumons semblant se comprimer sous le poids de cette force dévastatrice. Tout autour de moi, des personnes s'effondraient sur le sol en suffoquant, incapables de supporter la puissance qui s'abattait sur elles. Leurs corps semblaient peser des tonnes, écrasés par cette force inimaginable. La terreur s'empara de chacun d'entre nous, alors que nous étions submergés par cette force titanesque, qui défiait toute logique et toute compréhension. Nos esprits vacillaient sous l'impact de cette manifestation terrifiante et il devenait clair que nous étions confrontés à une menace bien plus redoutable et destructrice que tout ce que nous avions pu imaginer.

L'air était irrespirable, nos regards se rivant, sur la source de ce phénomène inquiétant. Du portail rouge apparaissait lentement devant nous, une ombre menaçante. Peu à peu, se transformant en une silhouette humanoïde, à la fin elle révéla un homme vêtu d'habits maculés de sang. Il tenait fermement dans sa main un sabre noir, aussi profond que la nuit elle-même.

Les yeux de cet être étaient animés d'une lueur terrifiante, glaçant le sang dans nos veines. De son autre main, il jeta sans aucune pitié la tête d'un autre monstre qui explosa en morceaux. Puis, il tourna son regard menaçant vers une personne bien précise : le professeur Henry.

À cet instant, mes poils se dressèrent sur tout mon corps, provoquant une vague de sueurs froides. Car la soif de sang démesurée qui émanait de lui à été démultipliée, dépassant sombrement toute notion d'humanité. J'en était alors sûr, il était inconcevable qu'une telle créature puisse être humaine.

L'homme disparut de mon champ de vision en un éclair, pour réapparaître juste à l'endroit où se trouvait le professeur. D'une main implacable, il le saisit par le cou, le soulevant du sol avec une facilité déconcertante. Un bruit rauque se fit entendre soudainement. De son autre main, il avait brisé le bras du professeur, le tordant dans une position absolument impossible.

"Argh !" Hurla de douleur Henry, les yeux révulsés et la bave à la bouche.

Le cri strident du professeur résonnait dans l'air, rappelant le son déchirant d'un porc qu'on égorge. Les autres éveillés, malgré leur peur, finirent par se mettre en mouvement en l'encerclant. L'homme les voyant, lâcha soudain un soupir lourd, comme s'il était fatigué ou désabusé.

"Pff, je n'ai plus assez de force pour me battre, merci de m'avoir attendu Arthur."

J'ai alors frémi, car cette voix était celle de Kévin, mais il était si méconnaissable, recouvert de sang et entouré de cette aura noire. Que je ne l'avais pas immédiatement reconnu. Puis, il s'effondra au sol, sa mère, Marie, ainsi que moi-même nous précipitâmes vers lui.

Comment avait-il pu survivre ? Je n'en avais aucune idée et cela m'importait peu. L'essentiel était qu'il soit revenu, comme il l'avait toujours fait.

"Bien sûr que je t'attendais mon pote !" (Arthur)

(Pov Kévin)

Tout ce dont je me souviens, c'est que j'ai fait l'expérience de la mort une nouvelle fois. Puis soudain, cette voix sombre, effrayante et débordante de puissance s'est fait entendre, me proposant une offre : le pouvoir.

Englouti, pris au piège de ma propre haine, une haine brûlante, viscérale et échappant totalement à mon contrôle, j'ai accepté à cette proposition.

Et alors, une énergie aussi sombre que la nuit, oppressante et sinistre, s'est déchaînée depuis les tréfonds de mon être. Cette force dévastatrice a engendré une explosion cataclysmique au sein de la cavité où je m'étais dissimulé. Les fragments de roche qui composaient mon refuge avait été pulvérisés et dispersés, créant une pluie de débris en chute libre autour de moi comme une pluie funeste.

Me redressant, j'observais avec fascination une aura ténébreuse suinter et se répandre sur tout mon corps. Cette teinte obscure avait momentanément pris la place de mon bras et de ma jambe disparus. Lorsque l'aura se dissipa, mes appendices manquants étaient étrangement revenus, réintégrés à mon corps. Un bien-être incroyable s'est emparé de moi, évoquant un état d'ivresse permanent et enivrant. En effet, un pouvoir incommensurable coulait désormais à travers mes veines, illuminant chaque parcelle de mon être. Les limites de ma condition humaine semblaient s'effacer, remplacées par une force insoupçonnée, presque divine.

Cependant, ce n'était que le début, cette énergie sombre se déversa sur le sol, s'étendant tel un brouillard. Une tension électrique imprégnait l'atmosphère, annonçant l'inévitable déchaînement de cette puissance.

Soudain, dans une déflagration cataclysmique, l'énergie noire atteignit son apogée, engendrant un tremblement d'une ampleur apocalyptique. Ce cataclysme spectral témoignait de l'immense pouvoir dont j'étais désormais imprégné. Dans cet instant de pure dévastation, je fus à la fois le témoin et l'instigateur de cette danse macabre orchestrée par des forces au-delà de toute compréhension.

J'avais soif ! Soif de destruction et de vengeance ! Je remarquais alors finalement les monstres qui m'avait attaqué précédemment. Leurs formes hideuses vacillaient dans la terreur, tremblant violement. Leurs membres agités par des spasmes incontrôlables. Le pouvoir qui m'animait les avait réduits à de simples créatures frêles et vulnérables, incapables de rivaliser avec l'intensité de ma colère déchaînée.

Je me suis tourné vers eux et ils ont reculé instinctivement submergés par une terreur viscérale. Je voulais les massacrer, déchirer chaque parcelle immonde de leur misérable être. Comme pour répondre à ma volonté, une épée de couleur noire, s'est matérialisée dans un voile au creux de ma main droite. L'épée dégageait une aura sinistre, renforçant mon sentiment de puissance et de contrôle. Je sentais son poids dans ma main, prêt à être utilisée comme une extension de ma volonté. C'était à la fois intimidant et fascinant de voir cette manifestation tangible de pouvoir, une arme qui semblait être forgée dans les ténèbres elles-mêmes.

"On dirait que la proie est devenue le chasseur !" Dis-je en répandant une soif de sang insatiable.

Je me suis élancé vers eux telle une bête enragée, avec une fureur meurtrière. Comme un prédateur affamé, j'ai déchiqueté, découpé ces monstres, les réduisant en vulgaires lambeaux de chair sanguinolant. Leur sang s'est répandu sur mes vêtements et mon corps les teintant d'un rouge vif. Dans cette frénésie meurtrière, j'ai plongé dans une extase sombre, une satisfaction perverse émanant de chaque coup asséné, chaque vie fauchée sans merci.

Les monstres se sont fait découpés sans la moindre chance ont commencé à courir terrifiés par la peur. Hélas pour eux je n'avais aucune intention de les laisser en vie. Je répandais leur sang partout comme une véritable pluie, y prenant un malin plaisir. Si quelqu'un m'avait vu une seul mot leur serait venu à la bouche : Démon.

"Encore ! Encore ! Encore !" (Kévin)

J'étais rentré dans une frénésie meurtrière, mon épée se balançant avec aisance et folie. Quand j'eut fini de massacrer tous les monstres, je sortis de la faille toujours dans un état second.

Je vis ma famille et Arthur abasourdis, mais mon esprit s'est en premier concentré sur l'une des personnes qui m'avaient abandonné à mon sort. Le professeur Henry, sans réfléchir et avec rage je me suis rapproché de lui à une vitesse extraordinaire et je l'ai attrapé par le cou. Avant d'ensuite avec un sourire malsain lui casser le bras. Pour lui arracher des cris d'outre-tombe gorgé d'une douleur insupportable.

C'était avec délectation que j'écoutais ces magnifiques cris, mais rapidement, des hommes m'ont entouré, sans doute dans le but de me neutraliser. Toute fois j'étais prêt à arracher leurs membres un par un. Toutefois pour mon malheur, j'ai ressenti une douleur vive parcourir mon corps. Dans l'instant qui suivit, j'ai senti cette extraordinaire énergie sombre me quitter peu à peu.

Je compris rapidement que cet état de grâce n'était que temporaire et que j'avais aussi atteint mes propres limites. Avant que ma vision ne se trouble et que mes jambes vacillent, j'ai prononcé un dernier mot, pour Arthur. Mes genoux se sont dérobés sous moi, et finalement, je me suis effondré sur le sol, frappé par l'épuisement.

**

J'ai rouvert lentement les yeux, accueillant une lueur qui pénétrait ma conscience, pour découvrir un plafond d'un blanc éclatant au-dessus de moi. J'étais également allongé sur un lit, dont les draps arboraient la même teinte, créant une atmosphère sereine et apaisante. À proximité, une télévision diffusait silencieusement un fond sonore.

"Ah.. Un hôpital ? Ah, c'est vrai, je me suis effondré. Mon bras et ma jambe ont bel et bien repoussé ?" Dis-je en enlevant la couverture qui me recouvrait.

Je les fit bouger pour être sûr qu'ils étaient de nouveau là, c'était une sensation assez extraordinaire sachant qu'ils m'avaient été arrachés. Puis je vis ma mère, assise paisiblement sur une chaise à côté de moi, les yeux fermés.

Je m'approchais d'elle, le cœur lourd de culpabilité, sachant que je lui avais infligé une nouvelle épreuve éprouvante. Doucement, ma main caressa son tendre visage, cherchant à apporter un semblant de réconfort à celle qui m'avait donné la force de combattre mes propres démons. M'empêchant de succomber à la tentation de la mort et renoncer à la vie qu'elle m'avait donner en tant que mère.

Elle se réveilla doucement, pour croiser mon regard, me voyant elle explosa en sanglot, pour ensuite immédiatement me serrer dans ses bras.

Face à ses larmes, mon coeur s'est serré de douleur, voir pleurer sa propre mère est toujours un événement marquant sur plusieurs aspects. Chaque larme qui perlait sur son visage faisait écho à une montagne d'émotions et de soucis qu'elle avait endurés. J'ai voulu la réconforter du mieux que je pouvais, je l'ai serrée fermement contre moi, essuyant délicatement ses larmes scintillantes qui coulaient sur son visage.

"Tout va bien maintenant, je vais bien maman, tu n'as plus à t'inquiéter." (Kévin)

"Je suis encore ta mère, donc oui j'ai à m'inquiéter !" Répondit-elle avec force.

Elle est encore restée à mon chevet plusieurs heures, où nous avons échangé tous les deux. Une fois qu'elle avait confirmé que j'allais bien elle est rentrée à la maison, car une nouvelle journée de travail l'attendait le lendemain.

Une fois seul dans ma chambre climatisée, j'ai regardé l'horloge de ma chambre qui indiquait minuit. Je me souvenais alors en détail de tous les événements et de la sensation indescriptible du pouvoir. Je le sentais au plus profond de ma chair et de mon être, ce changement indescriptible. Un changement qui allait m'offrir de toutes nouvelles possibilités.

Après 3 jours d'hospitalisation, comme je n'avais aucune blessure j'ai été autorisé à sortir. J'ai appris rapidement par Arthur que 1 mois de pause avaient été accordés, bien entendu à cause de l'événement. Des élèves avaient quand même tragiquement perdu la vie lors de l'incident. L'affaire avait été intensément médiatisée par la presse, suscitant un grand intérêt du public. Les détails de l'événement avaient été minutieusement scrutés, analysés et disséqués dans les médias, cherchant à comprendre les circonstances qui avaient conduit à cette situation tragique. Cependant, malgré toute l'attention portée à l'affaire, personne n'avait été blâmé, car on avait attribué cet événement malheureux à la simple malchance.

Néanmoins, personne n'avait parlé du fait que l'on m'avait abandonné, comme un vulgaire chien. La haine s'est à nouveau emparé de moi mes dents se serrant l'une contre l'autre. Je voulais trouver un moyen de les faire payer. Dans mon esprit pour parvenir à cela il n'y avait qu'une idée, je devais devenir plus fort que je ne l'étais maintenant. Je suis rentré chez moi avec une seule envie en tête, m'entraîner et tester mes nouveaux pouvoirs et voir ce dont j'étais capable.

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