Métalia est le nom de la plus grande ville du sud de Jordgull, construites sur des plaines et entouré de collines ses bâtiments de plusieurs dizaines de mètres paraissent sortir de la terre. La perle du sud se trouve aux frontières voisine de Verzone et du royaume des bêtes, le commerce de cette cité est florissant et sa bourgeoisie aussi.
La caserne militaire se trouvant au sud collé à la frontière est occupé par le commandant Hugues Rimbo, ce dernier dispose d'une armée réelle de mille hommes mêmes si les ennemis en comptes plus. Hugues Rimbo est un soldat Divinôm mais aussi un mercenaire de son temps libre et son classement dans la ligue des Divinôm lui ont permis d'être recruté, tant qu'il est mandaté par son employeur Hugues a la possibilité de combattre les Divinôm. Évona ramène auprès du général Hugues, Kirin et le groupe de rebelles. Dans la salle de commandement installer dans la caserne au sud de Métalia, des écrans montre la carte de Jordgull et ses points stratégiques, un homme et assis au centre de la pièce, il porte un plastron de soldat noir et un trident enveloppé dans un tissu.
— Voici le récemment général des armée d'Anarkreis Hugues Rimbo, dit Evona.
— Pourquoi cache t-il son trident derrière un tissu, dit un rebelle. On va mourir ?
— Non, je suis en présence d'un Divinôm, rétorque Hugues. Je préfère garder mon arme près de moi et si possible secrète.
— Ne vous en faites pas Hugues, je ne suis plus Divinôm, dit Kirin.
Hugues se lève, il mesure un mètre quatre-vingt-seize, sa peau est le bleu ciel, car il est humérien, ses yeux son noir, ses cheveux court et noir. Le général donne son trident à un soldat avant de se diriger vers Kirin qui lui tend la main.
— Attendez d'avoir trouvé un accord avant de serrer nos mains, dit Hugues.
— Oui, vous avez raison, dans ce cas dites nous pourquoi nous sommes ici ?
— Vous voyez... Nous avons un accord avec Yzmir qui fait de nous les détenteurs des mines d'or à cinquante pour-cents.
— Quand nous aurons trouvé les contrats signés par Yzmir, nous vous donnerons ce que vous voulez, dit Éric.
— Je suis pressé et les ressources vont manquer dans le sud pour mes hommes.
— les seul choses que le pays peu vous rendre, c'est les frais de déplacement, et le reste nous le garderons pour les réparations dû à votre petite bataille.
— Dans ce cas je vais de ce pas, vendre votre fille aux mercenaires qui la cherche depuis tant d'années ! s'exclame Hugues.
— Voilà votre vrai visage, rétorque Kirin.
La porte de gauche s'ouvre les soldat tiennent Aaron par les bras, ce dernier est couvert de blessures et marqués de coups. La mains anciennement coupé du jeûne homme est de couleurs chair, Kirin est stupéfait de voir une personne avec un tel niveau d'auto-guérison, mais il s'inquiète pour sa fille.
— Je ne sait rien Kirin !
— Je te crois sur parole Aaron, acquiesce Kirin. Je dois comprendre que vous n'avez pas ma fille ?
— Oui c'est bien cela, mais comme tu as pu le voir se jeûne disciple ne parle pas beaucoup, répond le général Hugues.
— Laisse le partir, il est juste presser de continuer sa route dans le cursus comme toi à son âge et ma fille ne vaut rien que tu ne peut avoir dans le nord.
— Ta fille et un autre jeûne homme ont tué le roi et ils se sont enfuis avec son véhicule qui possède une cinquantaine de lingots.
— Ce petit étai un appât pour qu'ils vous sèment, ils ne reviendrons pas et il ne sait rien.
— Dans ce cas il sera jugé à mort pour avoir blessé de nombreux soldats, mais s'il accepte de me rejoindre, il ne lui arrivera rien, dit Hugues.
— Plutôt crever ! s'exclame Aaron.
— Si tu le laisses partir, je reste avec toi pour les négociations et pour retrouver ma fille.
— Evona, conduit se jeûne homme a la frontière, dit Hugues. Il sera beaucoup plus fort en soldat énergétique.
— Merci Hugues, rétorque Kirin.
— Ne sois pas trop fière, si je laisse partir se garçon c'est pour recruter ta fille et vendre le prince avec qui elle est !
Évona emmène Aaron dans le hangar, un soldat lui enlève ses menottes et le place à l'arrière d'un camion, Evona et deux soldats monte également à bord.
— Je n'ai pas besoin d'être raccompagné, dit Aaron regardant Evona.
— C'est juste au cas où le général Hugues change d'avis, rétorque Evona. Tu fais une erreur en refusant la demande du général.
— Regarde-moi, dit un soldat. Je suis disciple et je continue le cursus tout en travaillant comme soldat.
— À vrai dire, je ne connais aucun de vous et je me fiche de ce que vous voulez.
Le véhicule démarre et Aaron s'éloigne de Kirin. Le général Hugues est toujours accompagné de Kirin et d'Eric, il expose à Kirin sa vision des événements.
— À l'heure qu'il est le palais royal dois être en feu, dit le générale.
— Comment ça ! s'exclame Eric.
— Vous verrez bien les maîtres de guerre ne sont pas du genres a laissé de traces derrière eux.
À l'aube d'exallios le palais est vide seul quelques soldats sont restés pour le surveiller, au fur et à mesure les conseillers restant et représentant des différents mouvement de libération arrivent au palais. Les soldats réagissent étrangement, du sang leur coule des yeux ces derniers sont entièrement noir et ils ont une réaction au bruit très hostile. Les personnes présente dans le palais sont décimés par les soldats qui sombre dans la folie meurtrière.
Une jeune fille au cheveux châtain marche dans les couloirs du palais en criant s'il y a quelqu'un qui l'entend, un groupe de représentants cours dans sa direction pour la protéger des soldats.
— laissez moi tranquille, je suis la pour vous aider ! s'exclame la fille.
— Tu ne peu pas nous aider ! Les soldats sont devenus fous !
— Ne vous fiez pas aux apparences, je suis Maga maître de guerre Divinôm.
Les adultes auprès de la jeune fille plaisante a son sujet, mais cette dernière cour en direction des soldats, en fermant son poing, la jeûne fille réchauffe la pièce, ça main et semblables a du métal en fusion et les soldats lui saute dessus.
Chaque coups mis par Maga traverse le corps de ses assaillants avec facilité, celle-ci frappe uniquement la tête pour en finir vite. Maga qui est habillé sobrement tue les quarante soldats du palais et ceux qui remonte des mines par la suite, avec une seul arme, son poing aussi chaud que la lave.
— C'est... c'est vraiment un maître de guerre cette fille.
Un grand homme aux cheveux bleu s'avance près des survivants du palais, il porte un manteau militaire bleu lui arrivant au chevilles, une tête de requins est gravé à l'arrière de son mentaux et il porte des botes noires.
— Je suis Zer-o, maître de guerre Divinôm numéro dix et Maga que vous avez sûrement croisé est numéro quatre.
— Vous êtes venu nous sauver ?
— Oui en quelques sortes, rétorque Zero. Je suis juste ici pour calmer les ardeurs de Maga.
— Pourquoi les Divinôm laisse une petite fille combattre ! s'exclame un conseiller.
— Oh, elle est plus qu'une petite fille.
— Nous devons fuir !
— Non ! rétorque Zero. Nous vous protégeons ainsi que toute la capitale, émettait un message sur les ondes pour avertir le moindre citoyens de notre présence.
— D'accord, mais pour le sud du pays et les armées du général hugues ?
— Tant que nous sommes la, personne ne viendra, ne vous inquiétez pas l'Orïtium gère tout à présent.
Dans le sud du pays, le camion transportant Aaron s'arrête à la frontière, la région est boisé avec une route traversant cette forêt qui semble infinie. Aaron regarde Evona qui fait mine de ne pas le regarder malgré qu'elle empoigne son arme côté hanche droite. Le soldat à côté d'elle vient de recevoir un message sur son terminal et le soldat à côté d'Aaron dit:
— Il nous demande de le ramener c'est ça ?
— Non ! Ne dit rien imbéciles ! s'exclame Évona.
— Baaah... Pourquoi ? rétorque le soldat à côté d'Aaron.
Sans une once d'hésitation Aaron charge ses deux poings à cent kilogrammes et frappes un double coups sûr Evona et le soldat à côté d'elle, puis il tape dans le dos du soldat à côté de lui tentant de fuir ce qui le projette hors du camion. Le conducteur et son copilote sortent armés du camion quelques minute plus tard pour voir ce qu'ils se passent, mais ils ne trouvent que Evona et son lieutenant défiguré à cause du coup reçu par Aaron. Le jeûne fui sans savoir où le mène ses deux pieds, il sait que le Sud est devant lui, car il garde la lune gaïa à sa droit elle qui est constamment à l'ouest. Quelques heures plus tard, les soldats qui ont escorté Aaron, reviennent auprès du général, pour lui annoncer la fuite du jeûne disciple. Kirin se promenant dans le couloir, aperçoit des hommes transporté Évona qui gémit de douleur, le Divinôm entend l'un des hommes dire que les deux corps récupéré ont la mâchoire enfoncée, mais le lieutenant Évona respire encore en souffrance. Kirin les suit discrètement pour écouter les détails en gardant une bonne distance.
— Ils devaient exécuter le jeûne divinôm, mais ils n'ont pas réussi et en plus il ses échappés.
— Ce jeune homme a entendu toute la conversation du général, il peut prévenir ses amis Divinôm et récupérer l'or.
— Non, imbécile, rétorque le soldat. On va devoir partir à sa recherche dans la ville de Verzone où les villages dans les bois.
Les soldats transportant Evona tournent dans le couloir à droite, Kirin les rejoint, mais il aperçoit Hugues au bout de ce dernier.
— Laisser Evona sur le lit, dit Hugues à ses soldats. Elle va bientôt guérir, laisser lui le temps d'utiliser sa maîtrise.
— Oui ! Général, rétorque les soldats en cœur.
— Nos bateaux et véhicules ne sont pas les bienvenues dans la région de Verzone, mais vous pouvez suivre se jeûne homme en civil et je vous offrirais une récompense si vous le ramener vivant.
Les soldats acquiescent et exécutent les ordres du générale, Kirin retourne auprès d'Éric pour lui raconter ce qu'il a vue et les deux hommes cherchent un moyen de fuir le général Hugues.