Peu après, la Vieille Madame Gu fut stupéfaite.
Qui aurait cru que cette belle-fille opprimée possédait d'aussi excellentes compétences culinaires, surpassant de loin les cuisiniers du manoir !
Madame Yao complimenta, "J'ai beaucoup pratiqué pour oser vous présenter ceci, Mère, j'espère que cela ne vous dérangera pas."
Tout le monde dans la pièce était abasourdi. Avaient-ils bien entendu ? Ces mots venaient-ils vraiment de la maîtresse de maison ?
Malgré son humble origine, Madame Yao possédait une grande dignité, refusant toujours d'agir aussi soumise que la Seconde Concubine Ling.
Madame Gu était satisfaite de l'attitude de Madame Yao. Combiné à son appétit faible à cause de sa blessure, les en-cas de Madame Yao étaient inopinément appétissants.