[Perspective de Marguerite]
Dans la lumière tamisée, je vis le visage d'Eric trempé de sueur froide ; ses lèvres étaient trop pâles. Je marquai une pause puis continuai, "Eric, toi et Marc montez dans la voiture avec moi. Tous les autres dépêchez-vous, on part."
Entendre ma voix sembla détendre Eric. Il s'accroupit à côté de moi, grimçant en se déplaçant, comme s'il tirait sur une blessure qui ne s'était pas encore cicatrisée, les dents serrées avec la sueur qui coulait !
Notre convoi commença à bouger. Je me penchai pour ouvrir la trousse médicale à mes pieds, sortis une petite boîte, et la tendis à Eric, "C'était soudain, donc tu devras te contenter de quelques analgésiques pour le moment. Une fois à l'abri, je ferai soigner quelqu'un pour toi."
Surpris par mes mots, Eric leva rapidement les mains pour la prendre et dit d'une voix rauque, "Merci, Votre Altesse. Je suis désolé pour les ennuis."