บท 105: Se vanter

Lorsque la lune était haute dans le ciel, sa lumière se glissait à travers les jardins, Elias se dirigeait vers la tour où se trouvait sa Grand-mère. 

À travers les petites fenêtres de pierre, il pouvait voir les jardins où Adeline lui avait avoué son amour. Il était fier de l'avoir emmenée dans ce petit jardin isolé, au lieu du grand jardin principal derrière le château dont tout le monde parlait toujours.

Tout à coup, il pensa à Adeline et à l'idée de se vanter à son sujet.

La pensée de sa nature timide, de ses sourires réservés et de sa lente confession lui fit esquisser un sourire. Elle était adorable quand elle était décontenancée, mais il y avait quelque chose de sage dans ses mots.

Il ne pouvait pas mettre le doigt dessus, mais il n'avait pas envie de le faire non plus. Elle l'amusait, c'est tout. Et peut-être même un peu trop, au point où il voulait posséder tout d'elle – corps, cœur, et âme. Il ne reculerait devant rien pour acquérir les trois.