บท 390: Le monde est

Pendant ce temps, dans la chancellerie du prince héritier...

Joaquin était assis sur la chaise derrière le bureau, les pieds dessus. Il tenait un verre de rhum, le serrant jusqu'à ce que des ondulations apparaissent à la surface de l'alcool à l'intérieur.

« Inez... » ses yeux se rétrécirent, dégageant une intention de tuer.

La pensée d'Inez apportait cette colère indicible à sa poitrine. Sa respiration devenait plus lourde alors que son esprit retournait à l'événement de la nuit dernière.

« Donne-moi ta parole, et je te dirai qui l'a exactement pris, frère. »

Joaquin s'accroupit pour regarder Inez dans les yeux. Elle avait ce sourire méchant sur son visage sale et la moquerie dans ses yeux était évidente.

« Et que veux-tu en retour ? » demanda-t-il. « Quelle sorte de promesse voudrais-tu de moi, Inez ? Je suis sûr que la liberté n'est pas la seule chose que tu voudrais en retour. »