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87.5% Dont look back / Chapter 7: Chapitre 7

บท 7: Chapitre 7

Kazuki et moi nous étions réfugiés dans mon appartement, le souffle cour et le corps endoloris. L'affrontement avec mon beau-père et la manière dont Kazuki l'avait laissé gisant sur le sol tournait encore dans ma tête… Kazuki s'assit lourdement sur mon lit en soupirant de colère, Il semblerait qu'il n'est pas apprécier que je stop sa frénésie. Il tentait tant bien que mal de se calmer, jouant nerveusement avec ses doigts.

La morsure de Jun et la gravure pulsait de douleur, brulaient et me démangeais mais je ne pouvais me résoudre à en parler à Kazuki ou à quiconque… Je ne voulais pas attirer davantage de problèmes au gang.

Je ne m'en rendais pas compte mais je frottais doucement sur les endroits douloureux, et cela n'échappait pas à Kazuki qui me fit signe d'approcher.

-          Ce bâtard ta touché ? Laisse moi voir.

Bien qu'il sois en colère, sa voix était douce.. presque paternelle. Mais la peur de sa réaction en voyant la vérité me fit reculer.

-          Ce n'est rien… Au… faite comment tu m'a trouvé.. ?

Je priais pour que ma question lui fasse oublié sa première demande.

-          Tu répondais au appel alors, je suis venue dans le seul endroit ou je serais sur de te trouver. Ou est ton portable ?

-          Euh… je… j'ai du le perdre…

Kazuki frottait ses mains encore couverte de sang, avant de plonger son regard dans le mien, il avait compris que je mentais, et cela commençait a attisé sa curiosité de plus belle, tels un petit chien a qui on avait promis une friandise, il ne reculerait devant rien pour que je crache le morceau.

-          Lapin…Lapin… Pense tu que me mentir ouvertement arrangera tes affaires ? Je suis ton chef, tu me dois la vérité, comme je te la dois.

-          Je… non… je ne peu pas Kazuki… La groupe en subirait les conséquences… Je ne veux pas être responsable de ça..

-          Tu pense vraiment que ton vieux crasseux de beau-père peut inquiéter le groupe ? Tu le surestime. Je te l'es déjà dit à maintenant reprise, tant que tu est sous ma protection tu n'a rien à craindre.

J'aurais vraiment aimer pouvoir lui demander la raison de sa bienveillance,  mais aucun mot ne sortait de ma bouche, dorénavant mon regard était rivé sur le sol, honteux de lui montrer ce que j'avais subi, mon corps se refusait à obéir et ce malgré ma bonne volonté, à nouveau un flot de larme se mirent à glisser le long de mes joues. D'une voix brisé je tentait tant bien que mal de lui dire que cela m'était totalement impossible.

-          Je..peux..pas… pardon..

Il s'avança jusqu'à moi et tendis sa main qui m'attrapai pour venir me mettre contre lui, cet homme qui dix minutes plus tôt était une bête enragé était à présent l'homme le plus doux et le plus attentionné que je connaissais. Son pouce venait essuyer mes larmes, tandis que sa voix me chuchota a demi mot.

-          Laisse moi voir.. Je ne serais pas plus énervé crois moi.. Tu m'autorise .. ?

La douceur dont il faisait preuve à mon égard était nouveau, et malgré la situation mon estomac ce mit à frémir comme si des millier de papillons volait à l'intérieure.

Je n'avais plus la force de parler , alors avec un simple hochement je lui donna la permission.

Il prit le temps de retirer méticuleusement ma chemise sans vraiment regarder, car sans la lumière de son portable , il ne pouvait rien voir.

Lorsque je vue dénuder, il avança l'appareil et un silence de mort tomba dans l'appartement. Ses doigts passais sur les ouverture sanguinolente, qui avaient gonflé.

Il prenait le temps de bien lire l'inscription, repassant délicatement la pulpe de son doigts sur ma peau meurtie. Bien qu'il connaisse la réponse il demanda.

-          Qui à fait ça ?!

Il était étrangement stoïque et détaché. Froid … comme un monstre qui venait de prendre vie.

Il remonta la lumière vers mon visage et pali à nouveau en voyant la marque bestial déposé sur mon épaule, son regard d'émeraude pris une teinte sombre… Un regard que j'avais vue dans le passé. Il avait le même lorsqu'il décidait que la mort devait faucher.

Mon mutisme lui suffit comme réponse, il compris que je ne dirais rien par crainte. Il composa un numéro , le bip que j'entendais me glaçai le sang, car je ne savais pas ce qu'il allai ce passer.

-          Réuni tout le groupe demain au aurore, je ne rentre pas se soir préviens les autres.

IL raccrocha avant de rapporter son attention sur moi.

-          Tu comptait vraiment rien me dire Lapin ?

-          Je…veux pas.. que..

-          Le gang est ta famille maintenant, on te touche, on nous touche TOUS, met toi sa bien dans ta petite tête….

Ses doigts continuait de parcourir mon corps, il se retenait clairement de sortir en courant de la pièce et de mettre en charpie le groupe de Jun, tenait il à cause de moi ?

-          Je…

-          T'on t'ils touché autre part ?!

-          Non… enfin…

-          ENFIN QUOI ?

-          Pas la… ou tu pense juste mon corps…

-          Bande de fils de pute…

-          Kazuki…

-          Quoi ?!

-          J'ai … mal…

Il se leva en me portant contre son torse, les plaies avaient commencé à s'infecter.

Il me posa sur le sol uniquement lorsqu'il trouva de quoi me désinfecter.

Il imbiba un coton de solution et l'appliquait avec minutie sur les endroits infecté. Je me retenais de bougé mais de petit cris de douleur parvenait quand même à passer mes lèvres, il ne disais rien à se sujet, il souriant en coin bêtement, trouvant cela mignon.

-          Va te doucher maintenant, je te ferai un pansement après.

-          Je suis fatigué..

-          Faut t'il que je te lave ?!

A sa question, je me surpris à réfléchir.. Mais je refusais l'offre en rougissant, entrant sans demander mon reste dans la salle de bain.

L'eau me faisait un bien fou, mais dès que je sorti de la, mon corps fut pris de nombreuse douleur. M'enveloppant dans une serviette, je sorti de la petite pièce en espérant trouver Kazuki.

Il était sur son téléphone envoyant des textos à je ne sais qui … surement Hana pour la prévenir de ne pas l'attendre.. Quand il me vit, il arrêta ce qu'il faisait et me fit signe de prendre place sur le lit, il avait déjà tout préparer : bandage, sparadra… Qui aurait pensé que ce jeune homme pouvait être organisé ?

-          Allonge toi.

Ce que je fit sans même répondre, il finis de me soigné avant de se pencher au dessus de moi, son visage à quelques centimètre du mien, je pouvais sentir son souffle venir caresser mes lèvres.

-          Comme neuf..

Putain de papillons !

Je ne comprenais rien à ce que je ressentait absolument rien et cela me rendait dingue !

-          Kazuki…

-          Hm… ?

-          Tu… tu veux bien… me .. prendre dans tes bras .. ?

M'attendant à un refus, je fut surpris de le voir venir prendre place à coté de moi, sa main me rapprocha de lui, ma peau denudé pouvait sentir la sienne, elle était chaude… il rabattit la couverture sur nous avant de murmuré des paroles que j'ai préférés ne pas relevez tant j'avais peur de les avoirs mal compris.

Tu es à moi lapin.

Notre relation changea petit à petit, il devenait de plus en plus protecteur… presque possessif, et malgré tout je commençais à apprécier sa présence.

La reunion d'urgence avait permis à tout le groupe de savoir ce que j'avais subit et rapidement le groupe de Jun fut traquer comme la peste, ils ne venaient plus au lycée ce qui me permis de souffler mais pas d'avoir peur, car leur fuite avait attisé le prédateur qui sommeillait en Kazuki et il les traquaient sans ménagement.

Hana de son coté… se rendit compte que notre chef ne l''appelait plus, ne la regardait même plus. J'essayait tant bien que mal de prendre du recul avec Kazuki, mais celui-ci ne me laissait aucun répit, de plus son comportement changeait… Il flirter ouvertement avec moi et ceux devant tout le monde.

Alors je rangeais mes affaires scolaire dans mon casier, je fut pris par surprise par Kazuki , qui me plaqua doucement contre le meuble en métal, son visage se rapprochant du mieux , je viens mettre mon livre de math entre nous en rougissant.

-          Tu as oublié que tu ne sortait pas seul lapin ?

-          Je… euh… Akira m'accompagne…

-          Non, Aki va en mission, donc JE suis celui qui t'accompagnera…

-          Kazuki… Hana…

-          Quoi Hana ?

Sans que Kazuki puisse réagir la jeune femme le repoussa brutalement, le faisant volé sur quelques mètre.

-          Tu crois quoi ? Que le sauver te permet de prendre MA place ?! Ecoute moi bien, tes une petite pute qui se fait agresser par des bouffons car tu est incapable de te défendre.. Mais au fond tu as kiffer quand Jun ta plaquer dans cette ruelle !

Elle raprocha son visage du mien, attrapant mes cheveux avec hargne, tirant dessus sans ménagement, avant de me chuchoter d'une voix froide et vicieuse.

-          Après tout, tu aidait bien un sale porc à faire la même chose y'a pas si longtemps non ?

La réponse de Kazuki fut brutal pour la jeune fille, qui se pris une gifle si brutal que sa lèvre s'ouvrit .

-          Dégage rapidement de mon groupe Ayafumi ou je serais obligée de m'occuper de toi !

Elle pris la fuite, ne me laissant aucunement le loisir de lui répondre…. Comment savait t'elle pour mon implication… ?!! Comment diable savait elle ?! J'aurais voulu mourir à cette instant… car de vieux trauma commençait à remonter .

-          L'écoute pas lapin , elle fait sa crise à chaque fois.

Kazuki ébouriffa mes cheveux avant de me tirer contre lui en souriant, il ne prenait rien au sérieux quand il s'agissait du groupe mais au fond de moi… Je savait qu'Hana était sérieuse.

Quelques semaine était passé depuis toute cette histoire. La surveillance était constante et ceux même dans mon appartement, la ou je me trouvais , un membre était présent et ce membre se trouvait être en général le chef lui-même , qui avait pris ses aises dans mon petit chez moi. Sa présence me faisait douter de moi et de ce que je ressentait car des que j'était près de lui mon corps entier semblait sortir d'un long sommeil ! Sans parler de ses foutu PAPILLIONS qui avait élue domicile dans mon bidon !

Le plus compliqué à vivre était le soir, après le repas… Kazuki prenait une douche et prenait un malin plaisir à se promener a moitie nue, il s'amusait de ma réaction et jouait comme un gamin avec… La vue de son corps… sa peau bronzé et ses tatouages sans parler de son regard taquin…

Le rouge me monta au joue dès que je repensais à ces scènes.

En rentrant après les cours , je découvris avec stupeur mon appartement saccagé, la colère semblait envahir Kazuki mais ma première réaction avait été de récupérer la photo de mon père, le cadre avait été briser mais la photo était intact..

-          Ouf…

-          Bordel qu'elle plaie cette meuf !

Kazuki reconnut l'œuvre d'Hana… et moi celle de Jun. Sur un des mur était écrit en gros : MA CHIENNE.

Je ne dit rien à Kazuki, il n'était pas au courant de ce passage de l'agression et cela valait mieux pour tout le monde… Surtout pour mon agresseur.

Kazuki se tourna vers moi avec un sourire énorme sur les lèvres, une idée venait de lui parvenir.

-          Bon …. Bha go..

-          Ou ça ?!

-          Chez moi.

Je regardais Kazuki totalement perdu et choqué de sa proposition.

-          Mais.. non … je…

-          Prend de trois affaires, magne toi lapin je suis pressé de rentrer.

N'ayant vivisblement pas le choix , je pris des affaires , ma brosse à dent , la photo de mon père et les quelques économie que j'avais. Je ne serais pas un poids pour Kazuki je payerais certaine chose.

En arrivant chez lui, je fis la connaissance de sa mère, une femme énergique et franche. Elle avait les même yeux que son fils mais ses  cheveux était brun et mi-long, sa peau était aussi pâle que la mienne.

Je regardais mon chef avec une et mille question à lui posé mais sa mère me coupa dans mon élan.

-          Vue ta tronche ce petit con n'a jamais parlé de sa mère ? Allez entre et fait comme chez toi Ayafumi !

-          Tsss… Maman va pas le faire fuir avec ton langage de Chartier la !

-          Ferme la gamin ! et montre la chambre au petit , je vous est préparé le repas, je sors ! Manger pas trop tard et pas de bêtise ! Je suis trop jeune pour être grand-mère !

Sur ses mot elle fit un clin d'œil à son fils et partit.

-          Je suis…un garçon....

Il riait comme jamais tandis que moi je restait bloquer sur les dernier mot de la mère de mon chef..


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