บท 467: Le conte perdu depuis longtemps (Partie XX)

Leur baiser devint rapidement profond et passionné. Lorsque leurs lèvres se séparèrent, tous deux cherchaient leur respiration.

Leurs yeux se rencontrèrent et Alex ne put plus résister. Il devait lui dire à nouveau ce qu'il ressentait pour elle.

« Je t'aime, Abigail, » lui dit-il, ses yeux scintillant comme des galaxies, débordants d'amour, de désir et de manque alors qu'il la contemplait.

« Je t'aime aussi, » elle chuchota et l'instant d'après, ils s'embrassaient de nouveau comme s'ils ne pouvaient se rassasier l'un de l'autre.

Sa main tenait l'arrière de sa tête, l'attirant vers lui tandis qu'il dévorait sa bouche. Sa langue glissa à l'intérieur et caressa doucement la sienne, et son esprit tournoya et s'envola vers le ciel. Son baiser était juste trop intense, si brûlant qu'elle avait l'impression qu'il la consumait.