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87.5% SAINT SEIYA : battle of gods / Chapter 14: Chapitre 14 :

Capítulo 14: Chapitre 14 :

Resté seul dans la pièce avec Athéna, Kiki était légèrement nerveux. Il ne savait pas ce que Athéna lui voulait.

Il resta silencieux pendant un bout de temps. Et cela n'arrangeait pas que Athéna restait elle aussi silencieuse.

Ils restèrent ainsi pendant quelques temps jusqu'à ce que Athéna ne demande " pourquoi ?"

"???" C'était ce que l'expression de Kiki semblait vouloir dire. Il ne connaissait vraiment pas ce qu'elle voulait.

" Pourquoi ?" Athéna demanda à nouveau. Mais cette fois-ci avec la voix un peu plus élevé et beaucoup de colère.

" Pourquoi quoi?" Demanda Kiki en espérant que cette fois ci elle demande avec plus de précisions.

En l'entendant la colère qu'elle avait réprimée depuis quelques jours, remonta. " POURQUOI LES AS-TU ENVOYÉ DANS CE LIEU ?" Demanda-t-elle en criant. Elle avait perdu la grâce qu'elle affichait habituellement.

" Oh je vois le Michelangelo te l'a dit avant de partir pour la forêt. Moi qui pensait que j'avais réussi à m'en débarrasser." Dit-il avec un sourire au visage. Il s'amusait vraiment.

" Tais toi et dis moi pourquoi as-tu fait ça ?" Le ton de sa voix avait diminué mais on pouvait encore sentir qui en émanait.

Kiki la fixa droit dans les yeux. Le sourire qui s'affichait jusque là sur son visage commença à disparaitre. A la fin il ne restait qu'un visage sans émotions. Sans la moindre expression particulière.

En voyant ce visage sans émotions qu'était le de Kiki, le cœur d'Athéna rata un battement. Avant elle n'en n'était pas sûr et pensait qu'il y avait encore un moyen de récupérer le véritable Kiki, mais là il n'y avait plus aucune raison de douter. Kiki était définitivement parti.

" Pourquoi ? Laisse moi te poser une question. Qu'est-ce que l'humanité était censé payer pour que le Taboo soit mis en place ?" Demanda-t-il sans montré aucune émotion.

Athéna tarda à répondre. Elle savait où il voulait en venir. C'est pour cela que c'était difficile pour elle d'y répondre. Pas en tant que déesse mais plutôt en tant que garant de l'humanité. Finalement elle ne répondit pas.

" Je vois que tu as oublié. Alors laisse moi te donner la réponse. "Rien" est la réponse qui est si difficile à sortir de ta bouche." Il lui a donné la réponse à sa propre question. Et toujours sans émotions il posa une autre question à Athéna. " Qui a payé ce prix ?"

Tout comme à la précédente question, Athéna n'a pas pû répondre à la question.

" Oh! Je vois tu as décidé de ne pas répondre. Alors laisse moi répondre." Puis il sourit. Mais ce sourire ne dégageait aucune émotion. " Moi. C'est moi qui ai payé ce prix. Non moi et mes descendants."

Lorsqu'elle l'entendit la réponse, elle fronça les sourcils. Définitivement elle connaissait le prix qu'il avait payé.

Puis à nouveau son souvenir disparu et il parla " Dis moi, qu'est-ce que je t'avais demandé en échange de ce sacrifice que j'avais fait ? Comme je sais que tu ne vas pas répondre, je vais alors le dire." Il s'arrêta là pour l'instant et regarda Athéna qui était toujours silencieuse. Elle semblait ne pas vouloir se rappeler de ce passé.

Plus il l'a regardait on aurait l'impression qu'il avait du dégoût. Mais il fallait bien l'observer pour remarquer la subtilité. Il ne ressentais rien. "Seulement une chose, ma création la plus puissante, ton bien le plus précieux et le dernier souvenir de cette tragédie. L'armure de Pégase. Je t'avais demandé de te débarrasser de cette armure. L'armure appartenant à celui qui avait provoqué cette situation dans laquelle on était. Celui que j'ai tué afin de calmer la colère de sa victime. Mon frère."

En entendant cela, le visage d'Athéna trembla. Elle se rappelait de ces mauvais souvenirs. Ceux qu'elle aurait préférés oublié. Et si ce qu'il disait était vrai, elle ne pouvait pas accepter ce qu'il venait de faire. " Tu as peut être raison mais tu n'avais aucun droit de faire de faire ce que tu as fait à ces deux enfants. Tu aurais pu juste détruire l'armure de Pégase."

" Je vois, tu ne le sais pas encore. Après trois mille ans de sommeil, elle va bientôt se réveiller. C'est pour cela que je suis revenue. Pour m'assurer que Taboo ne soit pas briser. Car si c'est le cas, avec elle de retour, ce monde cours à sa perte." Ce qu'il disait n'était pas explicite, mais Athéna comprenait bien la signification de ce qu'il disait.

" Je comprends, mais...

" Je vois que ces siècles à te réincarner en humain à affecter ton jugement." Sur ces mots, Il se retournait et partie.

Athéna quant-à elle, la colère monta puis elle l'appela " où vas tu ainsi, je ne t'ai jamais dit de partir."

Il l'entendit mais ne se retourna pas et continua son chemin laissant derrière lui, une femme troublée, attristé avec un fort sentiment de culpabilité dans son cœur.

...

Harbinger venait de sortir de la réunion entre ces collègue et Athéna. Durant cette réunion il a reçu beaucoup d'informations qui lui permettait de théorisé sur les raisons qui avaient poussé Kiki à activer l'héritage. Mais ce n'était pas le plus important, il y avait aussi cette affaire d'espion en leur sein. Harbinger n'était pas bête. Il savait que si quelqu'un avait implanté des espions ici, cela signifiait qu'ils étaient ciblé. Il se demandait même quels types d'informations ce genre d'informations ces espions pouvaient bien partager.

Il pensa à ça pendant quelques instants avant d'arriver à une conclusion. " Se pourrait-il que tout ce bazar qui vient d'avoir lieu était leur fait." Pensa-t-il.

Puis il réfléchit à un moyen de tromper les espions sans toutefois les avertir qu'ils savons pour eux. Ce qu'il trouva facilement mais pour qu'il puisse le mettre en place, il fallait qu'il devienne lui-même grand Pope. Cette finalité était vraiment impossible.

Il aimait son poste actuel, il aimait broyer les os de ceux qui voulaient passer par sa maison. En se disant cela il se demandait pourquoi les chevaliers continuait à passer par les maisons pour se rendre chez Athéna. " Pourquoi ne pas passer de manière incognito au dessus des maisons ?" Se demandait-il. " Peut-être il y a une sorte de charme forçant le gens à prendre la plus difficile." Si non, il pense qu'une telle chose aurait été bien.

Il secoua sa tête pour éviter de penser à ces choses. Il ne sera jamais grand Pope.

Il n'avait pas de temps à perdre, il voulait absolument lire la lettre qu'on lui avait donné. Sans plus attendre Il alla vers sa maison (maison du taureau).

Une fois arrivé, il se dirige vers sa chambre. Devant sa chambre, il hésite un instant avant d'ouvrir sa porte. Lorsqu'il le fait on voit un lit dans une pièce carré de 3x2 m. A coté du chevet de son lit un bureau muni d'une table avec deux tiroirs positionnés du côté droit de la table et d'une chaise. Sur la table on peut y voir des livres rangés à un bout de la table. A l'autre bout on peut y voir un cadre photo d'une femme avec la peau légèrement foncée et de très joli yeux bleu entourée de deux enfants avec la même couleur d'yeux, l'un est un jeune garçon au cheveux roux tandis que l'autre est une fille au cheveux bleu clair.

Dès qu'il entre il se dirige aussi tôt vers son bureau puis s'assoit sur la chaise, et contemple d'abord pendant quelque temps le cadre photo sur sa table avec beaucoup de regret.

Après avoir fini de regarder la photo, il fouille sa poche et sort l'enveloppe qu'Athéna lui avait remis durant la réunion. Il la tien dans ses maint la déchire avec l'aide de son cosmos en forme de lame pour y sortir la lettre qui y se trouve. Une fois cela fait il déplie la lettre soigneusement puis la place devant lui pour la lire.

Avant de le faire il parcourt toute la lettre pour savoir qui l'a écrit. Il remarque deux chose la première est l'écriture qui s'apparente à celle de Kiki et la seconde est qu'elle est signée au nom de Kiki.

Cela l'intrigue et a beaucoup mais ne s'y attarde pas trop car il commence à lire la lettre.

Mon cher ami,

Je suis sûr qu'à cet instant tu te demande pourquoi je t'ai laissé une lettre et je comprends le sentiment que tu peux ressentir maintenant. Mais s'il te plait écoute moi car l'heure est grave.

Pour l'instant, je suis

...

Plusieurs heures ont passé depuis qu'il a lu la lettre de Kiki. Et après avoir réfléchi, il décide d'accepter l'offre d'Athéna.

Il se lève de son bureau et sort de sa chambre et en suite de sa maison et se dirige vers salle du grand pope.

.

Après son arrivé il demande audience au près d'Athéna chose qu'il obtient très facilement.

Devant Athéna, Harbinger est debout la regardant avec les yeux plein de détermination. Athéna le regarde avec satisfaction, elle le regarde puis prend la parole « tu sais déjà que nous avons fait un sacrifice pour éviter le futur non glorieux qui nous attend. En sachant cela, est tu sur de vouloir prendre les responsabilités pour toute action du sanctuaire, en ce temps que nous ne connaissons même pas notre ennemis ? Tu pourrais même être renier par tes paires et tes compagnons. »

Harbinger leva les yeux vers Athéna et lui répondis à haute voix « OUI JE SUIS PRET A DEVENIR LE GRAND POPE."

Et le visage d'Athéna devint sérieux « d'accord."

...

Musée de l'histoire de France, auparavant appelé Château de Versailles.

En ce lieu qui fut autrefois l'un des plus grands châteaux au monde, accueil aujourd'hui en son sein, ce soir, un groupe de personnes vraiment douteux. Dans l'une des salles où il est accroché plusieurs tableaux au mur, se trouve au centre de la pièce une table ronde, fait dans un bois ancien, avec tout autour d'elle 13 chaises fait dans le même bois ancien que la table. Sur les treize chaises sept était occupé par des personnes clairement louche portant tous des costumes à savoir chemise blanche en dessous, veste noire et cravate noire au dessus et un pantalon noir. Et pour les femmes à la place du pantalon noir, ce sont des jupes tailleur noire.

Si on se fie à leurs vêtements, à l'éclairage de pièce qui ne permet de distinguer les visages et leur corpulence pas si différente des un des autres, il serait très difficile de les différencier si ce n'était pas le numéro inscrit sur leurs cravates. En un numéro est inscrit sur leurs cravates. Ainsi il y a le 2, le 5, le 7, le 8, le 10, le 12 et le 13.

Tous sont assis en silence jusqu'à ce que le 2 ne le brise " il se fait déjà et il est bientôt temps de commencer notre réunion. Où sont même passer les autres ?"

À cette question le numéro 7 assis juste en face de lui, répondit " ça fait que nous avons pas pris contact avec le n°1, le n°3 est parti rendre visite à un ami se trouvant sur une autre terre dans une autre galaxie, l'un des enfants du n°4 s'est encore échapper elle règle le problème en ce moment même, le n°6, nous savons pas où il se trouve en ce moment, seul le n°5 ici répondre et quant-aux restes ils ont refusé de venir."

En entendant la réponse le n°2 eu envie de se gifler le visage. Mais il se contrôla et passa à autre chose. " Pourquoi sommes nous dans un musée ?"

Le numéro 7 répondit " le n°13"

" Pourquoi une table ronde ?"

" Le n°12."

" Et pourquoi fait-il si sombre ici?"

" Le n°8."

Le numéro 2 regarda toute les personnes citées et pensa " pourquoi le chef réuni toujours des personnes bizarres pour être des apôtres ?"

Sachant qu'il ne trouverait jamais la réponse il décida qu'il était l'heure de passer à autre chose. " Laissons ces détails pour l'instant. Pourquoi sommes nous réunis ici? Si je me rappelle bien, la dernière fois que nous nous sommes réunis remonte à 500 ans."

" Athéna nous a remarqué et Hermès s'est mêlé de nos affaires." Répondit le n°7.

Le numéro 2 regarda le numéro 7 avec un air qui semblait demandé "comment?"

Le n°7 sorti quelque chose de la poche de son pantalon et le posa sur la table. Il s'agissait d'un objet en forme de bouton.

" Fait jouer." Dit le n°7 puis un écran holographique sortie du bouton. Sur l'écran, on pouvait voir un homme aux cheveux noirs habiller en men in black assis sur un tronc d'arbre dans une forêt. Plus la vidéo jouait plus elle semblait correspondre aux événements qui s'était produit dans la Taïga. L'arrivée de la femme blonde suspecté d'être Médusa jusqu'au massacre des chevaliers.

La vidéo s'est arrêtée. Le n°2 qui avait regardé la vidéo jusqu'à maintenant regarda le n°5 qui était une femme mais à cause de l'obscurité on ne pouvait pas distinguer les traits de la femme. Le n° 2 détestait vraiment parler avec les gens dont il ne pouvait pas voir le visage. C'est pourquoi il claqua ses doigts et une petite boule de lumière éclaira le numéro 5. Cette dernière se révéla comme être là femme blonde suspecté d'être Médusa qu'on avait vu à l'écran.

" Médusa d'après la possibilité d'empêcher cette situation. Pourquoi n'as tu rien fait ?"

Médusa regarda le n°2 très sérieusement, ce qu'il le fit glousser. " C'est que je voulais faire lorsque j'ai senti la présence d'Hermès mais il m'a dit...

" Que t'a-t-il dit?" Demanda le numéro 7.

Médusa rougit et les autres sentirent que ce qu'elle allait dire, n'allait pas les plaire. " Il m'a promis des vacances à Hawaï." Elle le dit en souriant bêtement.

" Médusa." Appela le n°7. Le numéro 12 se mis à rire et le numéro 2 eu envie de se tirer une balle dans la tête.

Le n°2 ne pouvait plus supporter cette situation choisi d'ignorer Médusa et demanda au n°7 " Qu'y a-t-il d'autres ?"

Le numéro 7 comprenant ce que demandait le n°2 claqua des doigts et a l'écran holographique, s'afficha plusieurs graphiques semblant comparer plusieurs éléments. " lorsque le numéro 6 a quitté la forêt, j'ai également retirer mes traceurs pensant qu'il ne s'y produirait plus rien d'intéressant. Mais Il y a quelques jours j'ai senti un cosmos incroyable venir de cette forêt. Je suis sûr que vous l'avez senti vous aussi." Expliqua-t-il et les autres sans exception hochérent la tête.

" Le cosmos que j'ai senti m'a semblé très familière et c'est pour cela que j'ai fait des comparaisons avec les données que nous avions. Et deviner ma surprise lorsque que j'ai appris qu'il s'agissait du cosmos du forgeron céleste."

En entendant ce nom le deuxième et le cinquième écarquillèrent les yeux d'étonnement. Bien sûr ils avaient ressenti le fameux cosmos il y a quelques jours mais ils n'auraient jamais pensé que ça pouvait être lui. Comment auraient-ils même pû penser que ça puisse être lui? La dernière dont ils se rappellent de lui, c'est qu'il avait été maudit par les dieux.

" Attends comment est ce possible il a été maudit par plusieurs dieux. Il devrait donc être impossible pour lui de revenir." Le n°5, maintenant connu sous le de Médusa, parla.

" Tu as raison. Mais tu connais de qui l'on parle. Je suis sûr que si c'est lui il n'y a aucun problème. D'autant plus que si l'on le fait qu'elle va bientôt se réveiller il n'y a pas de quoi douter." Le n°7 argumenta puis le n°2 et le n°5 acceptèrent sans discuter.

La conversation qu'ils venaient d'avoir avait piqué l'intérêt du n°12 et du n°13.

" De qui parler vous?" Demanda le numéro 12 avec une très masculine.

Le n°7 voulut lui répondre mais le numéro 2 est intervenu " si tu veux causé explique moi d'abord, lequel es-tu ?"

" Oh! Je vois, j'ai été percé à jour." Au dessus du numéro 12 une boule lumineuse apparue révélant ainsi un jeune homme blond et très beau avec de beaux yeux couleur or. Quelques secondes après les traits du jeune homme changea pour donner ceux d'une belle femme aux cheveux blancs et yeux verts. La costume autrefois du jeune homme, se changea également pour devenir une très belle robe de bal noire. La jeune femme avait d'impressionnants atouts qui attiraient le regard du dixième qui, jusqu'à ce moment, était resté silencieux. S'il n'y avait pas l'obscurité, on pourrait même le voir entrain de baver.

Cette transformation ne surpris pas du moins du monde le deuxième, Médusa, le septième et le huitième. " Morgane." Appella le deuxième.

" Comment saviez-vous que ce n'était pas l'autre imbécile mais plutôt moi?" Demanda le n°12.

" Tout à l'heure vous demandiez qui était la personne donc nous parlions. Laissez moi vous le dire." Les concernés l'ignoraient tous et le n°7 tenta de répondre à sa question. " Comment le dire ? Eh bien, vous voyez les armures que portent les chevaliers d'Athéna, c'est lui qui les a forgé."

Ce dernier extrait a piqué l'intérêt du huitième, du douzième et du treizième. Le numéro 10 était à la fois concentré par les seins de Médusa et de Morgane. Si ce n'était pas le fait que tous dans cette salle était prêt à le tué s'il bougeait, il aurait déjà sauté sur les deux femmes.

Le forgeron céleste avait attiré l'attention de ses gars à cause de ce qui venait d'être dit. Même si chacun d'entre eux avait vécu à des époques différentes, tous avaient eu un contact rapprocher avec les chevaliers d'Athéna.

Le numéro 13 par exemple avait été l'un de leurs fervents, lorsque les chevaliers avaient voulu s'ingérer dans la politique de son pays. Ces derniers étaient même la raison de sa fin tragique.

Le n°12 était un peu dans le même cas que le n°13. La seule différence était qu'elle les avait un peu provoqué pour avoir un peu de distraction.

Et le numéro 8 quant-à lui était un ancien chevaliers d'Athéna.

Bien que l'intérêt des trois étaient porté sur le fait que le forgeron céleste avait forgé ces armures, il y avait plus pour le numéro 12. Le mot " maudit" que ses collègues avait prononcé tout à l'heure pour définir le forgeron céleste. Le façon est la manière dont ils ont parlé de cette malédiction. Ils l'ont dit comme si le simple fait que ce forgeron céleste réapparaisse, signifie qu'il ait réussi à se défaire de cette malédiction. Ce point l'intéressait au plus haut point car elle aussi avait été maudit par un dieu. " Où puis-je le trouver ?"

" Morgane, je comprends ton désir mais tu vas devoir le mettre de côté. Notre présence et nos actions doivent rester secret. J'espère que tu comprends." Dit le second. Morgane mordit ses lèvres et fronça sourcils. C'était vraiment une chance unique.

" Était ce tout pour les imprévus ?" Demanda le deuxième.

" Oui. Maintenant nous pouvons passer à nos différents rapports." Répondit le septième. " Tout comme le maître l'avait prévu, ils sont passés à l'attaque. Ils ont déjà abattu Fenrir et Jörmungand."

Tout le monde a été surpris. Ils ne s'attendaient pas à ce que les monstres qui causeraient l'apocalypse soient abattus ainsi.

" Ont-ils eu des pertes?" Demanda le deuxième.

" Trois armées commandé par trois commandants différents ont étéenvoyé pour abattre Jörmungand. Seul la moitié d'une d'entre elles a pu en ressortir vivante. Tous les commandants ont été tués. Et pour Fenrir, ils ont envoyé deux commandants accompagné de leurs armées. Seul une personne à réussi à survivre. Personne que j'ai aussi tôt tué tout en déguisant son meurtre pour que l'on pense que c'est le loup, qui l'ai tué." Répondit le septième.

" J'espère que tu ne t'ai pas fait remarquer." Dit le numéro 2.

" Non. J'ai même récupérer les cœurs des deux monstres. Et aussi des éléments de leurs carcasses qui s'étaient coupé durant les combats." Dit le septième.

" Quel a été la répercussion cet assaut sur leurs forces globales ?" Demanda le deuxième.

" Durant cet assaut ils ont perdu 4 commandants et leurs armées. De plus il y a l'archidémon que le maître et le troisième avait tué. Plus les deux généraux que nous, les apôtres avons éliminer." Il prit une pause pour regarder les autres afin de savoir s'il ne s'est pas trompé. Voyant que non, il continua. " La force de l'ennemi se composait à la base de deux archidémons à la tête de toute l' armée suivi de huit généraux chacun suivi de 4 commandants commandant chacun à leur tour une armée composé de près de 20000 démons. Avec ça pas besoin de vous dire combien combien ils sont aujourd'hui."

" Ha ha ha ha." Le numéro 2 se mis à rire de manière audible. " Ils veulent abattre ces monstres incontrôlable pour nous privé de. nos armes. Mais ce qu'ils ne savent pas c'est que c'est monstres sont des mêmes pour nous. À la fin ils nous rendent service et nous permettent de collecter du matériau pour l'exécution de notre plan final."

Tout le monde regardait et tout le monde comprenait pourquoi il était aussi content. C'était encore plus vrai pour le cinquième, le septième et le huitième.

Ils le comprenaient parce que pour battre les deux généraux mentionné plus tôt, il avait fallu tous les apôtres présent et leur armée. Douze individus suivis d'une centaine de milliers d'hommes derrière eux, tout ça pour battre deux individus. Bien sûr ils étaient ressorti vainqueur mais à quel prix. Quatre d'entre eux étaient morts. Il s'agissait des numéros 9 à 12. Et ils auraient tous été massacrés si ce n'était pas le troisième.

Auparavant eux les 12 apôtres d'Hadès dont les deux craignaient, avaient été réduit à 8. Seulement par deux démons, généraux. De cette bataille les survivants en étaient ressorti gravement blessés. Ils étaient à un tel point que depuis 2000 ans ils récupèrent toujours.

Par chance ils n'étaient pas resté pendant tout ce temps à ce tourner les pouces. Premièrement ils reconstitué leurs rangs en ajoutant de nouveaux apôtre de manière à quitter de 8 à 13. Ils avaient également conçu un plan pour battre leurs ennemis pour de bon.

.

Le deuxième était vraiment contents du rapport du septième et n'avait rien d'autre à lui demander. Il reporta son attention sur le huitième. Sans que le deuxième n'ait à quelque chose, le huitième commença son rapport toujours dans l'obscurité de la pièce. " Comme vous le savez, depuis quelques temps, d'anciennes bêtes mythologiques ont refait leur apparition. En réalité après une enquête poussé, j'ai découvert qu'il s'agissait en fait de clones créés par une organisation humaines." En entendant cela les autres ont été surpris, cloné des bêtes mythologiques. Ces humains sont-ils fou? C'est la question que tout le monde se posait.

En voyant la réaction de chacun, le huitième compris ce à quoi ses collègues pensaient. Il fallait qu'il désamorce le malentendu. " Ne vous inquiétez pas. Ce qui en résulte de ces clonage son des bête sans cœur. Donc même s'ils sont très dangereux, ils n'ont pas la puissance des originaux."

Il avait réussi à régler le malentendu et les autres étaient soulagés.

Il regarda la réaction du deuxième, puis un sourire se dessina sur son visage. Bien sûr les autres ne pouvait pas le voir. " Je sais vous allez me demander de faire. Mais je pense que cela est une mauvaise idée. Je pense la bonne solution est de laisser cette organisation à Athéna et ses chevaliers. Ce serait un bon moyen pour les permettre d'augmenter leur niveau."

En l'entendant les autres n'ont pas pu s'empêcher d'être d'accord avec lui. Cette organisation peut servir de tremplin pour leur futur allié. C'est pour cela que le deuxième dit les mots suivants " j'accepte ta requête mais tu devras garder un œil sur cette organisation et assurer qu'il ne font rien de dangereux pour notre plan."

Ayant fini avec lui, le deuxième regarda le dixième. Mais ce dernier ne lui prêta même attention. Il était occupé à regarder Médusa et Morgane. Plus précisément leurs poitrines. Mais à cause de l'obscurité ce n'était pas évident de voir ce qu'il faisait. C'est pour cela que le deuxième n'hésita pas à éclairer le visage de l'homme.

Même après cette action, cet homme aux cheveux noirs et aux yeux noirs, costaud et ressemblant à un asiatique, ce type regardait toujours dans la même direction avec ses yeux pervers et en bavant. Les filles qui étaient regardées, déglutirent. Elles étaient dégoûtées non pas à cause du regard pervers, mais plutôt à cause du fait que ça fait un moment qu'il les regarde ainsi et elles n'ont rien remarqué jusqu'à maintenant.

Pour les autres, à part le septième, en le voyant se demandait vraiment pourquoi un tel type était devenu apôtre. Il faut savoir qu'il était dernier à avoir rejoint les apôtres. Cela remonte à 10 ans lorsque que le dixième apôtre précédent décida de mettre celui-ci à sa place et de se mettre sous ses ordres.

Pour le septième par contre, il savait que ce type, malgré son côté très pervers, méritait sa place parmi eux. Les autres ne savait pas seulement que Lors de la bataille contre les deux généraux, ce type avait joué un très grand rôle. Le problème est que en ce moment là ce n'était qu'un soldat.

.

Le dixième ne semblait pas vouloir donner son rapport et cela exaspérait les autres. " Aïe aïe aïe aïe aïe aïeeeeeeeee." Puis il gémit de douleur et se tourna pour regarder la personne assise à droite directement à côté de lui. Ce dernier, le treizième se révéla, grâce à une boule lumineuse, être une jeune femme blonde un peu garçon manqué. Ses cheveux rasés, ses yeux bleus comme le ciel, sa carrure pas si différente de celle d'un homme, sa poitrine très peu développé et son costard correspondant à celui d'un homme, font en sorte que l'on pourrait la prendre pour un homme. Non plutôt un garçon car elle semblait très jeune.

" Pourquoi m'as-tu fait ça ? Jeanne." Demanda le dixième au n°13 maintenant identifié comme Jeanne.

Jeanne le regarda dans les yeux pas du tout intimidé par le regard en colère du dixième. " Le second demande ton rapport." Dit Jeanne tout en pointant le deuxième.

" Ah d'accord que veux tu savoir exactement vieil homme?" Il demanda au deuxième.

Le deuxième n'était pas visible des autres. Donc ils ne pouvaient pas voir à quel point le deuxième était en colère des mots du dixième. Mais ils pouvaient le sentir. Et ce la se confirma lorsqu'il prononça les mots suivants. " Surveille ton langage Ryo. Et dis moi tout de suite comment s'est passé la mission que le maître t'a confié. Si tu ne le fait pas, tu ne ressortira pas d'ici vivant."

" Pas de quoi être si furieux. C'était juste une blague le vieux." Dit le dixième maintenant identifié comme Ryo. Plus précisément il s'appelle Ryo Saeba. Puis tout d'un coup il devint sérieux. Et une aura dangereuse se dégagea de lui.

Ce changement a surpris beaucoup. Mais la réaction du septième était différente des autres. Car ce dernier se mis à touché son épaule comme s'il avait été blessé à l'épaule.

" Est ce que ça va ?" Demanda Jeanne au septième.

" Non ce n'est rien." Il lui répondit. Cette petite conversation entre Jeanne et le septième. Attira le regard de Ryo sur le septième. Cette action fit tremblé de peur le septième. Tout le monde la peur dans les yeux du septième et se demanda si c'était Ryo qui lui faisait cet effet. ils voulaient le demander ce qu'il voyait en Ryo. Mais Ryo parla. " Ma mission a été un succès. Tous les dieux de l'Olympe sont sur pied de guerre."

En disant cela tout le monde a été surpris. Ils lui ont donné cette mission il n'y a que 2 semaines. Morgane intriguée lui demanda. " Comment as-tu fait pour réussir cette mission en si peu de temps ?"

" Tu sais, ma jolie il y a bien des choses qu'il vaudrait mieux ne pas connaître." Expliqua-t-il.

Avec ces mots, l'imagination de tout le monde voyagea enfin de trouver ce qu'il avait fait. Cette situation a durée quelques minutes jusqu'à ce que Jeanne, assise à côté de Ryo, ne prenne quelque chose qui dépasse de la poche de ce dernier. " Qu'est-ce que c'est ?" Demanda-t-elle en les retirant.

Sa question attira l'attention de tout le monde. Ryo le principal concerné, tenta de récupérer à plusieurs reprises l'objet des main de Jeanne. Mais cette dernière était extrêmement rapide et avant qu'il ne puisse récupérer son bien, tout le monde avait déjà une très bonne vu sur l'objet. Morgane pris l'objet des mains de Jeanne et le contempla.

Il s'agissait en fait d'un string noir. Elle observa le string plus attentivement. " Très bonne qualité, hyper résistant et fait avec un tissu qui serait considéré chez les hommes comme indestructible. Je pense savoir comment tu as réussi ta mission aussi tôt."

Les autres hochérent la tête comprenant eux aussi.

Le deuxième eu envie de se gifler le visage, il avait imaginé Ryo entrain de provoquer les dieux tel un terroriste. Mais maintenant il savait. Bien qu'il ne trouvait pas cela respectable, le résultat était là.

Ayant eu ce qu'il voulait, il demanda à tout le monde de se calmer et continua à demander les rapports des autres.

..

Plusieurs minutes sont passés et chacun à pu donner son rapport, il était déjà temps de se séparer. Mais avant ça, le deuxième avait quelque chose à dire. " Comme vous le savez tous le maître récupère encore depuis son combat avec l'archidémon. De plus il est actuellement enfermé dans le Tartare. Mais ne vous inquiétez pas. Le maître pense avoir complètement récupérer dans 4 ans. Il dit même qu'il pense finir la fusion dans 4 ans et brisera le Taboo à ce moment là."

En entendant cela un sourire se dessina sur le visage de tout le monde. Enfin ils arrivaient au bout. C'est ce que chacun se disait.

Le deuxième ayant déjà transmis l'information. Il fallait maintenant clôturer cette réunion. " Vous savez tous ce que vous devez faire maintenant."

Lorsque ses mots sont tombés tout le monde s'est levé et a disparu.

...

Dans une grotte, en amont de la rivière Prahova, sur le flanc d'une carpate des Alpes de Transylvanie situé entre le centre et le Sud de la Roumanie, deux hommes y sont entrain de chercher un objet. Le premier des deux était un homme aux longs cheveux bleus et aux yeux bleus. Il avait un air noble et ressemblait à un homme riche. C'était surtout le cas à cause de son accoutrement qui semblait extrêmement coûteux ne correspondait pas à son environnement. Le nom de cet homme est Julian Solo.

Il marcha dans la grotte comme s'il déjà sa destinataire. Et le jeune homme avec lui le suivait. " Monsieur, je ne comprends toujours pas pourquoi nous cherchons ces objets." Demanda le deuxième homme a Julian. Il s'agissait nb d'un homme grand et costaud, à la peau noire. Bien que grand de 2 mètre, il s'agissait d'un bel jeune homme aux cheveux courts noirs et aux yeux noirs. Il portait sur une combinaison de travail bleue, un casque de protection blanc, des gants et des bottes.

" Tu veux savoir ce que nous cherchons, c'est bien ça? Éric." Demanda Julian à l'autre homme pour être bien sûr de sa question.

Le jeune homme maintenant identifié comme Éric, hocha la tête en accord avec Julian. " Je pense que tu connais l'urne dans laquelle, autrefois avait été enfermé l'âme de Poséidon." Dit Julian.

" Oui je connais cette urne. Vous parlez bien de celle en votre possession."

" Et je suppose que tu connais l'histoire derrière celle-ci."

" L'âme de Poséidon y a été enfermé après qu'il ait perdu la guerre sainte contre Athéna. Monsieur je connais cette histoire elle est racontée de générations en générations dans mon clan."

" Je sais que tu le sais. Mais est-ce que tu savais que l'âme enfermé dans l'urne n'est qu'une partie de l'âme de Poséidon."

" Non n'monsieur je ne le sais pas. Si c'est le cas où est donc le reste ?"

" Lorsque Poséidon m'a confié cette mission, il m'a raconté une histoire inédit. Plusieurs siècles avant que Poséidon ne devienne dieux des mers et des océans, Héra, Apollon et lui même tentèrent d'évincer Zeus de son trône. Mais cette tentative échoua et chacun d'eux eurent à payer un prix énorme. Celui de Poséidon était la scission de son âme en en 100 parties différentes dont 99 seraient enfermées dans 99 artefacts différents et envoyées dans différentes parties du monde."

" Monsieur si ce que vous dites est vrai, ça veut dire que ce que nous cherchons depuis ce sont ces artefacts. Mais monsieur nous en avons déjà trouvé 80. Donc il n'en reste plus 19. Monsieur voulez vous faire avec tous ces artefacts ? Prendre votre revanche sur Athéna ?" Demanda le jeune homme un peu inquiet. Il ne voulait pas son peuple entre encore en guerre avec les gens de la surface.

" Non." Julian répondit un peu indigné. " Pour qui me prends tu? Pour un enfant qui ne sait pas se contrôler ? Je risquerait pas la vie des miens pour des problèmes personnels."

Éric était soulagés d'entendre ça. Mais il devait bien y avoir une raison de rassembler ces artefacts. Si c'est le cas, quelle était-elle?.

Mais avant qu'il ne puisse penser plus loin, Julian continua. " Bien sûr il y a un but en rassemblant ces artefacts. Pour mieux t'expliquer laisse moi te demander quelques petits détails."

Éric hocha la tête prêt à répondre à n'importe quel question ou exigence. " Te rappelles-tu de la dernière guerre sainte entre Hadès et Athéna ?" Demanda Julian.

" Oui monsieur."

" Connais-tu comment Poséidon a contribuer à cette guerre?"

" Oui monsieur. Poséidon notre dieu a envoyé les armures d'or à Elysion pour aider les chevaliers dans leur combats contre Hadès." Éric le dit avec honneur. En vérité c'était à cause de acte qu'il était devenu fervent admirateur de Poséidon.

" C'est bien ça. Mais il y a une chose dont personne ne sait. Lorsque Poséidon a envoyé les armures, il a établi un lien avec Elysion. Et cet à ce moment là qu'il a senti leurs présences." Dit Julian avec un air un peu sombre.

" De quelles présences parles-tu ?" Demanda Éric.

Julian fronça légèrement les sourcils pendant quelques instants et cela ne passa pas inaperçu d'Éric, qui l'interpréta comme si les personnes dont Julian allait parler, ne sont pas du tout commodes. " Les présences que Poséidon avait senti, sont ceux d'un groupe de personnes appeler les apôtres d'Hadès."

Éric regarda Julian avec des points d'interrogations sur la tête. Depuis tout petit il était intéressé par les Dieux et avait lu beaucoup d'ouvrage qui parlait d'eux. Mais il n'avait jamais d'un tel groupe de personnes. Il se disait que si ces gens inquiétait Poséidon lui même, ils devaient être très et très connu.

" Je comprends ton problème. Même moi je me posais les mêmes questions le jour qu'il m'a pas parlé de ça. Si tu veux en savoir plus écoute moi jusqu'à la fin." Julian attira d'Éric sur ce qui allait suivre. " Les apôtres d'Hadès sont le détachement armée d'Hadès la plus puissante. Ils n'obéissent qu'à Hadès et à personne d'autre. Ils sont si puissant qu'ils pourraient rivaliser avec des dieux. S'ils ne sont pas connus c'est simplement ils sont restés inactif pendant près de 2000 ans."

Éric comprenait qui ils étaient mais il y une question qu'il se posait quand même. " S'ils sont si puissant que ça, pourquoi ne sont ils intervenu lors de la guerre sainte alors qu'ils se trouvaient sur les lieux ?"

" C'est une bonne question. Nous nous sommes posé la même question. Nous ne sommes pas sûrs que c'est la réponse. Mais Poséidon pense qu'ils étaient là bas pour autre chose qu'Hadès." Dit Julian.

" Quoi donc ?" Demanda Éric.

" Avant que je te réponde laisse moi d'abord te rappeler quelque chose. Lorsque Athéna et ses chevaliers ont tué Hadès, Elysion et le monde souterrain se sont effondré. Beaucoup ont pris cela comme quelque chose de naturel. Mais laisse moi te dire que chaque monde ou dimension, possède un noyau chargé d'énergie mystique, permettant la survie de ce monde, même si son créateur n'est plus." Expliqua Julian.

Éric écouta Julian puis se mis à réfléchir. Après quelques secondes de réflexion, son visage devint laid. " Ils étaient aux enfers... Puis Elysion a... Le monde souterrain également. Que veulent-ils faire avec ces noyau ?" Après avoir balbutier la majorité de ses phrases, il réussi quand même à poser une question.

" Nous ne savons pas. Mais s'il y a une chose qui est sûr, c'est que ces noyaux on la..." Il n'eut le temps de finir qu'une lumière apparue droit devant eux. Ils courent vers la lumière jusqu'à arriver à un mur très anormal par rapport aux parois de la grotte. Elle était très lisse comme si elle avait été fait par l'homme. Sur le mur il y avait un trou de forme circulaire. C'était de l'intérieur que provenait la lumière.

Julian y envoya sa main et récupéra la source de la lumière. Lorsque sa main entra en contact avec la source de la lumière, cette dernière a cessé d'émettre révélant ainsi un bracelet rouillé.

Julian le pris en main et le plaça dans sa poche. Il n'était pas vraiment surpris par l'apparence de l'objet. Cela avait été comme ça avec tous les objets qu'ils avaient récupérés. Mais s'il y a une chose qu'ils savaient c'est que malgré l'apparence de ces derniers, ils étaient indestructibles.

Après avoir récupéré l'objet, ils disparurent comme s'ils avaient jamais été là.

...

Dans la ville de Prague en République Tchèque, plus précisément dans le quartier vieille ville, dans une rue pavée, marché une jeune fille portant une robe blanche et des sandalettes. C'était une jeune fille de 14 ans aux yeux bleus et aux cheveux courts et bleus. Son nom est Aria (elle était la fausse Athéna dans saint Seiya Omega. Elle est également morte avant le combat final sur Mars).

Aria marcha dans la rue pavée pendant quelques minutes jusqu'à à arriver à un cul-de-sac. Bien qu'elle a vu l'impasse devant elle, elle continua à avancer jusqu'à traverser le mur. Quelques secondes plus tard, elle est apparu comme par magie au beau milieu d'une forêt. Elle observa son environnement et remarqua que la forêt était étrangement calme puis elle appela. " Maman. C'est moi."

Ses mots étant tombé, la forêt autrefois calme commença à changer pour finir par ressemblé à un grand jardin avec toute les variétés de fleurs au monde, qu'elles soit empoisonnées ou non.

Directement autour d'Aria, une seule fleur poussait. Elle poussait jusqu'à éclore. l'apparence finale de la fleur est une rose d'une couleur unique qui se nuançait des sept couleurs de l'arc-en-ciel. Cette vue était magnifique. Mais il semblait que cela ne s'arrêtait pas là. De la fleur arc-en-ciel, une nouvelle fleur semblait poussé. Une rose verte.

La rose verte maintenant obtenu, grandit jusqu'à atteindre une taille d'homme. Malgré la nouvelle taille de la rose verte, la verte sembla la supporter.

La rose verte se mis à s'ouvrir, son pollen s'y échappa. Ce pollen ressemblait à plusieurs particules d'or qui se déposaient devant Aria. De ce pollen, se mis à apparaître une femme nue commença. Une fois le pollen a fini de se déposé, le corps complet de la femme était apparu et la rose verte d'où provenait le pollen, disparu également.

La femme devant Aria, avait des yeux et de long cheveux verts atteignant le sol. Ses lèvres pulpeuses, son grain de beauté en dessous de son œil gauche, et son corps pouvant pas passer inaperçu, faisait d'elle une irrésistible.

La femme en voyant Aria, l'embrassa dans ses bras en se mettant à pleurer. Aria quant-à elle l'a tenu également dans ses bras, sourire aux lèvres et larmes aux yeux. " Maman je suis de retour."

Cette scène dura pendant un certain temps.

.

Aria et la jeune femme sont assises en se faisant face, à même le sol au milieu de cette clairière. La jeune femme est maintenant habiller d'une robe composé de fleurs.

" Ma fille comment est ce possible ? Je pensais que je t'avais perdue pour de bon." La femme aux cheveux verts parla à Aria.

Aria fronça un peu les sourcils. Elle voulait expliquer mais elle même ne comprenait pas "comment ?" Tout ce qu'elle savait, c'est que c'était son mari qui lui avait donné cette chance en tout cas donner cette chance. "Maman ce n'est pas important." Dit-elle dans l'espoir que sa mère n'insiste pas trop. En tout cas elle qu'elle n'aimait pas la réponse ni la personne qui l'a donnerait.

" Si c'est important, J'ai cru que je ne te rêverait plus jamais." Dit sa mère.

" Si vous voulez connaître la réponse, déesse Déméter, laisser ce serviteur vous l'expliquer." Une voix résonna derrière Aria puis une silhouette y est apparu en position à genoux. Mais à une vitesse que l'œil nu ne pouvait suivre, plusieurs racines aux bouts pointus, transperça la silhouette et souleva par la même occasion un grand nuage de poussière qui envahit toute la zone. Bien sûr Aria et la femme maintenant connu sous le nom de Déméter était protégé par un dôme protecteur fait de racines.

Quelques secondes plus tard lorsque la poussière s'est déjà dissipée, les racines qui autrefois composaient le dôme de protection, retournent dans le sol, permettant ainsi à Aria et à Déméter de voir la situation devant elles. Sans contredire ceux à quoi elles s'attendaient, un jeune homme qui ne semblait pas plus vieux qu'Aria, était à genoux devant elles, comme un serviteur montrant du respect à son maître. Ce dernier était transpercé de route part par des racines. Du sang coulait à flot. Mais comme s'attendaient Aria et Déméter, il était toujours vivant.

Aria en voyant le jeune homme devant elle, eu vraiment envie de se frapper le visage. Elle savait que ça se finirait ainsi. C'est pourquoi elle lui avait fait promettre de ne se révéler qu'il arrive. Mais non il fallait que ce soit un employé de son mari.

" Ton nom et la raison de ta venue." Demanda Déméter avec colère après s'être mise devant le jeune homme.

" Écos, onzième apôtres du seigneur Hadès. Je suis ici sous ordre du seigneur Hadès pour protéger sa bien aimée Perséphone." Dit le jeune homme de manière solennel. En l'entendre on ne pourrait penser que ce dernier est troué de toute part par de grosses racines.

Déméter ayant entendu la réponse du jeune homme, connaissait maintenant qui avait permis à sa fille de revivre. Elle considérait cet acte comme la plus belle chose qui n'ai jamais été fait par cet homme. Mais ça ne changeait rien au fait qu'elle le détestait toujours.

D'autant plus ce que le jeune homme venait de dire lui permettait de savoir une chose, cet homme était toujours en vie. ' Comment avait-il fait pour survivre ? Au dernière il avait été tué par Athéna et ses chevaliers.' Se demanda-t-elle.

Ce type est en vie et il a ramené sa fille. Elle l'en était reconnaissante mais cela ne changeait rien à la rancune qu'elle avait pour lui. Pour cette raison elle avait besoin défouler. Comme l'un de ses employés était là, pourquoi ne pas en profiter.

Un sourire maléfique se dessina sur le visage de Déméter. Cela ne passa pas inaperçu d'Aria/Perséphone. Elle savait ce que sa mère préparait et elle voulait tout faire pour l'en empêcher.

" Maman, sais que tu as une autre fille ?" Dit Perséphone a Déméter.

Déméter l'ayant entendu se retourna pour regarder sa fille, avec une expression qui semblait dire "Quoi?"

" Maman tu sais, ce corps bien qu'il était mort auparavant, avait une âme qui s'y accrochait. En me ramenant à la vie, Hadès a également ramené cette fille car je ne voulait pas la tué. Donc elle et moi partageons le même corps et comme je suis ta fille, elle également est ta fille." Expliqua Perséphone.

' Quel raisonnement à deux balles est ce là ?' Déméter était choqué par la façon de penser de sa fille mais elle ne voulait pas la contredire. Elle remettait la faute de la façon de sa fille, à cet homme.

" Comment s'appelle-t-elle?" Elle finit par demander curieuse de cette fameuse fille qu'elle allait bientôt considéré comme sa fille. Elle détourna finalement son attention du jeune homme qui était à genoux et les racines qui le transpercèrent, retournèrent dans le sol. Après cela les blessures de l'homme, qui auraient succombé n'importe quel être vivant quelque soit sa force se refermèrent comme si de rien n'était.

En voyant l'état de l'homme Perséphone a été très surprise, elle est sûr que même les dieux n'ont pas une telle capacité de régénération. Mais elle était quand même contente elle ne voulait pas que sa mère torture l'un des employés de son mari. Et surtout au plus profond d'elle, elle ne voulait pas que ce jeune homme meurt.

" Maman, elle s'appelle Aria." Répondit Perséphone très heureuse de parler de sa nouvelle sœur.

Déméter trouva que c'était joli nom. " Parle moi d'elle."

Perséphone eu un sourire aux lèvres. Elle était vraiment contente. Elle appréciait beaucoup sa nouvelle sœur. Alors enfin de répondre à la demande de sa mère, elle commença à conter l'histoire de sa nouvelle sœur.

Pendant ce temps le jeune homme complètement rétablie maintenant, resta à genoux où il était. Sa mission est de protéger sa mère, Perséphone.

...

Dans un lieu comparable au vide s'étendant sur des milliers de kilomètres, se trouve un immense château flottant. Ce château est le seul bâtiment de ce lieu.

A intérieur de ce château, plus précisément dans la chambre la plus spacieuse, se trouve une très belle femme endormi sur un grand lit sans doute très coûteux. Cette femme a des cheveux écarlate et brillant.

Tout autour d'elle des hommes et femmes femmes sont à genoux et têtes baissés. Parmi eux, certains ont des ailes et d'autres porte des arcs et des flèches. Mais même s'ils sont différents, ils ont quand même quelque chose en commun. Ils sont tous très beaux et belles.

À genoux, ils restent là à attendre pendant des heures et des heures. Ça fait déjà un mois qu'ils sont ici à attendre. Depuis que les premiers signes du réveil de leur déesse sont apparus, ils ont laissé ce qu'ils faisaient pour pouvoir être ici au côté de leur déesse à son réveil.

Encore une heure, qu'ils viennent de passer à attendre. Certains d'entre eux, ceux ayant le moins de divinités dans leur sang, n'arrivaient plus à tenir. Un mois sans manger et sans boire c'était trop. Mais la pensée de voir leur déesse à son réveil, était un élément de subsistance pour eux. Donc ils continuaient avec cette pensée en tête.

Alors qu'ils continuaient d'attendre, sur le lit, les paupières de la femme couchée, bougea. Ce simple mouvement attira l'attention de tous le monde. Tous levèrent la tête.

Puis c'est au tour de ses mains de bouger. Avec ce nouveau mouvement, un sourire se dessine sur le visage de tout le monde présent dans le château.

Après brusquement, ses yeux s'ouvrèrent révélant de magnifiques yeux rouges brillant comme des rubis. Avec l'ouverture de ses yeux, une vague d'énergie se propagea autour d'elle, annonçant ainsi qu'elle s'était réveillée.

La joie commença à apparaître sur le visage de toute les personnes présentes dans le château. Bon nombre d'entre eux pleuraient de joie, larmes aux yeux et morve au nez. L'heure n'était plus à l'esthétique, à quoi bon retenir ses émotions dans cette situation.

Pendant que ceux qui l'entouraient pleuraient, la femme sur le lit se plaça en position assise et regarda ceux qui l'entouraient. Elle reconnaissait la majeure partie d'entre eux et il y avait certains qu'elle ne connaissait pas. Mais elle était sûr d'une chose, ils étaient tous ses descendants.

En regardant tout le monde elle s'arrêta sur l'un d'entre eux. Il s'agissait d'un jeune homme aux cheveux bouclés et roux, aux yeux bruns et à la peau claire. Il avait des ailes blanches tel un ange et un arc et un carquois remplit de flèches. Il portait sur lui un T-shirt orange et une culotte brune et aux pieds, il avait des sandales orange.

Le jeune homme remarqua le regard de la femme et s'approcha plus près du lit. " Mère, c'est moi Éros." Le jeune homme se présenta à la femme, qu'il appelait mère.

La femme quant-à elle le reconnu. C'était son fils avec Arès. "Combien de temps ?" Demanda-t-elle.

L'homme compris aussi tôt ce qu'elle demandait c'est pour cela qu'il n'eût aucun problème à répondre. " Plus de 3000 ans, mère."

" Ai-je autant dormi ?" La femme marmonna dans sa barbe. Puis elle pensa à eu l'air un peu contente et parla. " Est-il là ?" Telle était sa question très simple et sans précision.

Mais Éros compris de qui elle voulait parler. Il baissa la tête l'air un peu triste. La femme ne remarqua pas cette action. En réalité il ne voulait pas parlé de lui. " Mère, s'il te plaît souviens toi."

En entendant les mots d'Éros, une panoplie d'images passa dans l'esprit de la jeune femme. Mais une seule attira plus son attention. C'était celle d'un homme qui souriait de manière idiot. Plus elle se concentrait sur celle-ci, plus celle-ci prenait feu, brûlant jusqu'à complètement se consumer. Une fois l'image partie, des larmes coulèrent de ses yeux. La tristesse envahit son être.

Les autres autour d'elle remarqua que leur déesse pleurait. Mais ils connaissaient tous la raison. Ils savaient donc qu'il n'y avait rien à faire.

" Non non non ce n'est pas possible." Elle était dans le déni. Elle continua à pleurer. " Non c'est impossible." Pendant qu'elle pleurait, plusieurs images défilèrent dans sa tête montrant différentes scènes. Puis parmi ces images, elle se focalisa sur l'une d'entre elle. Dans cette image, plus d'un millier de personnes se plaçait devant un homme de manière protecteur. Ces personnes semblaient calomnier la personne qui les regardait. Mais cette personne ne semblait pas se préoccuper de la foule en colère. Ce qu'elle regarda était au cheveux noirs portant l'armure de Pégase version Omega, loin derrière la foule. Elle se concentra sur le sourire malicieux de l'homme.

Et à ce moment, la femme arrêta de pleurer. Pour les autres autour c'était un signe qu'elle acceptait la situation. Cette pensée était leur erreur. Sans prévenir, comme à son réveil, une vague d'énergie avec pour centre la jeune femme, se propagea dans toute l'espace vide. Ceux qui était touché par cela, commençait à ressentir une sorte de haine au plus profond d'eux, leur donnant envie de tout détruire autour d'eux. Éros qui était proche de la femme, ressenti également cette haine et tenta tout pour la réprimer.

" Mère." Appela-t-il la femme qui était immobile. Mais semblait-il n'attendait comme si la haine tellement envahit qu'elle ne ressentais plus rien du monde extérieur.

" Aphrodite." Appela-t-il de nouveau la femme, cette fois-ci par son nom. Mais aucune réaction. Voyant cela il sortit quelque chose de sa poche et la plaça devant Aphrodite.

En voyant l'objet placé juste devant elle, Aphrodite se calma et le symptôme autrefois visible des gens qui l'entouraient disparu. L'objet en question était une alliance en or.

Voyant que sa mère s'était calmé, Éros soupira. Chance qu'il prévu cela.

Aphrodite pris l'alliance et la plaça à son doigt. Elle était un peu heureuse et en même temps très triste, en regardant l'alliance à son doigt. Elle était aussi nostalgique.

En voyant sa mère calme, Éros pris la parole. " Mère je sais que ça doit être déroutant de se réveiller après si longtemps. C'est pour cela que je vais te raconter tout ce tu as manqué."

Aphrodite hocha la tête en accord. Et Éros commença à raconter en commençant par le moment où elle s'est endormie.

A/N

Il s'agit du dernier chapitre du prologue.


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