Bab 144: Un paradis parfait

Islinda ne pouvait pas rester en colère contre Isaac éternellement car dès qu'elle tira les grandes portes doubles de la bibliothèque, le souffle lui fut coupé. Elle devait avoir pénétré dans le paradis.

La bibliothèque était captivante et choquante avec une lueur éthérée de doux soleil scintillant qui s'écoulait à travers les nombreuses fenêtres. Elle était immense et l'étagère faite de cristaux bordait la salle et s'étirait, atteignant presque le toit.

Islinda dut allonger le coup pour étudier la longueur de l'étagère, avalant sa salive. Comment espéraient-ils qu'elle attrape le livre dont elle avait besoin à cette hauteur, elle n'était pas précisément un singe. Toutefois, Islinda réalisa que cette bibliothèque était construite pour un Fae, et non pour un humain, et elle pariait qu'ils avaient un moyen spécial pour atteindre les livres désirés.