Bab 180: Une épée et une robe

Rosalinde ne savait pas si elle devait rire ou applaudir lorsque le Prince a quitté la pièce en colère. Plus tôt, lorsque la Princesse héritière était partie, elle resplendissait déjà intérieurement.

Elle savait que le Duc était autoritaire, mais elle n'aurait jamais imaginé qu'il manquerait de respect aussi ouvertement au prince héritier et à la princesse d'un autre Royaume ! Comment pouvait-il agir de manière aussi éhontée !?

Cependant, elle n'avait pas le temps de penser à cela. Dès que le Prince fut parti, elle utilisa immédiatement sa bénédiction de lumière pour soigner le Comte. Elle n'avait pas encore fini, pensa-t-elle.