Chapitre 176: Nous n'avons pas le choix

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En écoutant la question de la vieille femme, A Lu Da réfléchit un moment et dit, "Je n'ai pas le droit de décider de cette affaire, mais je vous le dirai plus tard après avoir demandé à notre Chef. Mais vous pouvez utiliser un brasero pour faire bouillir de l'eau ou cuire un repas simple chez vous."

Les réfugiés se regardèrent un instant, puis acquiescèrent d'un signe de tête. Voyant qu'ils n'avaient pas de problème avec les règles du village, A Lu Da dit, "Allons-y. Je vais vous raccompagner à la zone résidentielle pour vous reposer."

Avant qu'ils ne se soient éloignés, l'un des aînés s'exclama soudain : "Quelle est cette odeur? Cela sent si bon!"

Dès que ses paroles furent prononcées, les autres aînés reniflèrent aussi l'air. Lorsqu'ils sentirent l'arôme incroyablement alléchant, ils ne purent s'empêcher d'avaler leur salive. N'ayant pas mangé depuis deux jours, ces vieux sont déjà très affamés. Accompagnés par l'arôme appétissant, leurs estomacs grondèrent bruyamment.