Chapitre 163: Assoiffé de sang

Le point de vue de Selma Payne :

Mais cela n'allégeait en rien le problème. Il était inutile pour nous de savoir ce que c'était car nous ne trouvions aucun moyen d'y faire face.

Je ne l'avais jamais vu auparavant. Les sourcils de Dorothy étaient fermement froncés. Il était clair qu'elle fouillait dans sa mémoire : "Que ce soit dans les livres ou dans la classe du grand maître loup-garou, je n'ai jamais vu ce type de marque. Je ne sais pas comment m'y prendre !"

J'ai suggéré qu'elle essaye un sortilège d'affaiblissement. Dorothy l'a essayé, mais l'effet n'était pas bon.

Linda murmurait quelque chose, saisissant l'air comme si elle tentait d'attraper un fantôme invisible.

"De la neige... Il y a de la neige partout...

"Mère, Père... La meute...

"Pourquoi ? Ce que je veux... N'existe pas..."

Ces mots sans sens nous ont paru si étranges que nous avons réalisé qu'elle avait peut-être perdu la raison et avait besoin d'un traitement immédiat.