La chambre 301, perchée au troisième étage de l'hôpital, est un véritable nid douillet. Conçue pour offrir un maximum de confort et de bien-être aux patients, elle est équipée d'une salle de bain attenante, pour leur permettre de conserver une certaine intimité et autonomie. Le lit, confortable à souhait, est recouvert de draps frais et d'oreillers moelleux, invitant à la détente et à la récupération. La couette, chaude et moelleuse, enveloppe le malade d'un cocon de douceur, pour le protéger des frissons de la maladie.
La table de chevet est équipée d'une lampe en cristal de mana, qui émet des rayons colorés et scintillants, pour éclairer les moments les plus sombres de la maladie. La fenêtre, quant à elle, s'ouvre sur les abords de l'hôpital, offrant un peu de vue sur le monde extérieur, pour rappeler aux patients qu'il y a encore de la vie et de la beauté à l'extérieur de leur chambre. Les murs, peints de couleurs pastel, créent une atmosphère apaisante, comme un rayon de soleil dans un ciel nuageux.
Il y a aussi un espace pour les visiteurs, avec des fauteuils confortables, une table basse, pour partager des moments de tendresse et de réconfort, et un porte-revues, pour s'évader le temps d'un instant. Enfin, une armoire est prévue pour ranger les effets personnels du patient, afin qu'il se sente chez lui, même loin de chez lui. La chambre 301 est donc un lieu où se mêlent confort, intimité et bien-être, pour accompagner les patients dans leur parcours de guérison.
Benjamin est plongé dans un profond sommeil, comme une rose en hibernation attendant le printemps. Il est inconscient, comme un papillon qui a fermé ses ailes pour se reposer. Les médecins veillent sur lui avec soin et attention, comme des jardiniers sur leur précieuse fleur, espérant un jour voir refleurir ses pétales. Sa famille et ses amis sont comme des abeilles paniquées, cherchant désespérément leur reine, espérant ardemment qu'un jour elle rouvrira les yeux et les regardera avec son sourire chaleureux. Les machines bipent régulièrement, indiquant les signes vitaux de Benjamin, mais ce sont comme des messages codés, un langage que seuls les médecins peuvent décoder, laissant sa famille et ses amis dans l'incertitude et l'angoisse. Ils prient pour un miracle, que leur bien-aimé leur revienne, en bonne santé et plein de vie.
Benjamin est plongé dans un profond sommeil, comme une rose en hibernation attendant le printemps. Il est inconscient, comme un papillon qui a fermé ses ailes pour se reposer. Les médecins veillent sur lui avec soin et attention, comme des jardiniers sur leur précieuse fleur, espérant un jour voir refleurir ses pétales. Sa famille et ses amis sont comme des abeilles paniquées, cherchant désespérément leur reine, espérant ardemment qu'un jour elle rouvrira les yeux et les regardera avec son sourire chaleureux. Les machines bipent régulièrement, indiquant les signes vitaux de Benjamin, mais ce sont comme des messages codés, un langage que seuls les médecins peuvent décoder, laissant sa famille et ses amis dans l'incertitude et l'angoisse. Ils prient pour un miracle, que leur bien-aimé leur revienne, en bonne santé et plein de vie.