Kapitel 12: #12 : Action !

Sur terre après avoir conclu le pacte avec maki , jacob s'apprettait à lancer l'offenssive la plus dévastatrice que sa famille eut jamais connu . La première étape consistait à tirer vérité du passé , berthe lui ayant un jour dit : " ce manoir sera le tient " jacob comptait bien s'en emparer , il n'y avait plus personne dans ce manoir hors mi les deux frères de jamil , Berthe s'étant exilée et les autres cousins de la famille était tous partis assister à des congrets étant tous hommes d'affaires et politiciens . Mais la soiffe vindicative de jacob ne pouvait pas être satisfaite uniquement par les deux moins que rien qui étaient restés au manoir , tous devaient payer leur affronts , tous devaient souffrir et payer leurs dettes de leur âme inutile qui n'avaient aucune valeur et n'en auront jamais ! C'est alors que jacob se rendi au manoir et ayant toujours les clefs que sa tente lui avait remis, monta les escaliers jusqu'au troisième étage où le burreau de Berthe était toujours intacte depuis ce jour maudis . Ce dernier profita du silence qui régnait dans la résidence pour envoyer des lettres écrites à tous les membres de la famille un à un les convoquant dans les plus brefs délais au manoir familial pour des raisons des plus importantes au nom de Berthe . Cette dernière était très respectée parmi les membres de sa famille , qui confirmèrent leur déplacement aussitot que possible . Jacob se promenant en pleine nuit lorsque tous dormaient discrettement dans les couloirs apperçu une porte entre-ouverte , curieux de voir le contenu de la pièce , il vit son oncle : le muet qui était gravement malade , ce dernier serrait dans ses mains un journal à la couverture de cuire . Durant le séjour de jacob dans la résidence ce dernier ne lui lança même pas un regard pour des raisons inconnues . Le jeune homme n'entra pas et continua son chemin . Des ondes négatives se ressentaient clairement dans cette aile de la maison. Des escaliers au bout du couloir menaient à une sombre bibliotèque qui donnait l'impression que le chemin s'achevait là , mais jacob connaissant la carte de la résidence , donna un coup sur le dot du meuble en bois et là il en eut la certitude , il y'avait quelque chose derrière , le son s'étant répandu , il continua à regarder les livres et soudain il tourna le lustre du couloir et une porte s'ouvri dans le meuble menant à une pièce dont jacob en y entrant resta sans voix face à cet horrible spectacle . Deux hommes vêtus de noir y étaient enchainés leur dépouille à moitié effrité , ce furent eux la source de ces ondes . Les deux hommes furent les deux serviteurs de Berthe qui étaient chargés autrefois de tuer son frère longtemps avant qu'elle ne s'en chargea d'elle même , mais qui ne le firent pas . Leur chatiment fut terrifiant puisque celle-ci les ayant fouetté puis enchainé dans une pièce où la moisissure se developpait sans eau ni nourriture attendant leur mort dans la souffrance la plus totale .Jacob ne voulant pas informer quiconque de cela , invoqua l'esprit de Maki qui ne répondi pas . Le jeune homme quitta la pièce ,referma le passage et retourna voir sa mère dans leur modeste demeure . Deux jours plutard ce fut la pleine lune , et jacob se rendi sous l'arbre sur lequel il avait placé le ruban , et invoqua l'esprit du seignrur des enfers . Maki apparu alors et le jeune homme le questionna à propos de ces deux hommes et de la raison de leur chatiment si atroce , jacob demanda à ce que ces hommes retournent à la vie . Ce fut le premier voeux de jacob ! Il reçu alors le premier anneau d'or et les deux hommes furent ressusités du monde des morts et revinrent à la vie . Les deux hommes de nouveau vivants décidèrent de suivre jacob dans sa quête de vengence leur coeur étant également aveuglés par ce désir ... Les premières visites des cousins de la famille firent surface lors de la visite du ministre et de sa femme au manoir . Après avoir enchainé l'oncle grincheux , le ministre et sa femme furent également enchainés par les deux hommes dans la même pièce où ils le furent . Les visites continuèrent à s'enchainer de jour en jour , et les disparitions ne se comptaient plus . Jacob n'était plus un humain ayant perdu la qualité principale des hommes : l'humanité ...